N’oublie pas qu’on écrit avec un dictionnaire et une corbeille à papier. Tout le reste n’est que litres et ratures.
Antoine Blondin
C’est en relisant du Blondin et en buvant hier soir (un hommage…) que l’idée de cet article m’est (re)venue.
Ca fait un moment que je n’ai pas traité de litres et ratures. Proprement scandaleux, je sais.
À l’approche du Tour, il était de coutume, à une certaine époque, de voir apparaitre en librairie nombre de nouveaux ouvrages dédiés au cyclisme. C’est comme ca, le monde de l’édition aime les coïncidences.
Jeune, à ma descente de l’avion début juillet, je me ruais dans les librairies à la recherche de ces ouvrages sur le vélo. Pas d’Internet, pas de YouTube ni de Facebook du Tour, seule possibilité pour apprendre, les revues et les livres cyclistes, qu’on trouvait très peu au Québec.
Aujourd’hui, à l’ère du numérique, le bédouin du Sinaï connait probablement le vainqueur d’étape du jour avant nous, alors qu’il vérifie la valeur de ses stock options à Wall Street.
Le numérique a du bon.
Pour ceux qui aiment encore les livres, dont je suis (ce qui trahit mon âge), pour ceux qui sont encore capables de se concentrer plus longtemps que pour trois paragraphes de six lignes (ce qui trahit encore mon âge), certains ouvrages viennent de paraitre à l’approche du Grand Départ.
Survol.
Les champions bretons du Tour de France – Jean Paul Ollivier
Côté timing, on fait difficilement mieux, à quelques jours désormais du Grand Départ de Brest.
Terre de vélo, la Bretagne a produit d’innombrables champions cyclistes depuis des décennies, de Lucien Petit-Breton à Warren Barguil, en passant par Louison Bobet et Bernard Hinault.
Outre les champions cyclistes, le livre écrit par « l’historien du Tour de France » décline également les villes-étape de Bretagne, au fil des 107 éditions jusqu’ici du Tour.
De quoi passer un bon moment en préparant son Grand Départ!
Dans la roue du chef – Alan Murchison
Original! Chef récompensé au Guide Michelin, lui-même champion cycliste et duathlète, champion d’Europe et du monde du sprint dans la discipline et à de multiples occasions au cours des dernières années, l’auteur vous propose 70 recettes adaptées à la pratique du cyclisme, incluant comment faire vos propres barres énergétiques et vos smoothies de récup. Un ouvrage également très bien imagé.
Le gars sait de quoi il parle.
Topoguide – Nicolas Geay
Le guide technique de 20 cols qui ont marqué l’histoire du Tour de France.
Outre le profil des ascensions, on y trouve aussi, et c’est d’intérêt, des recommandations braquets et bons plans (notamment comment enchainer avec une autre ascension du secteur, question de faire durer le plaisir…), ainsi qu’un petit avis d’un cycliste pro qui connait bien l’ascension (Thibault Pinot, Alberto Contador sont de l’ouvrage).
À l’heure des GPS ultra-précis et connectés, l’étude des profils des ascensions est moins d’actualité certes, mais les conseils braquets eux le demeurent. Quoi qu’avec 12 vitesses et deux plateaux à l’avant, vous avez de quoi voir venir!
Le guide du vélo au féminin – Louise Roussel
Pas forcément cycliste assidue, l’auteure a produit un ouvrage qui s’intéresse à une foule de chose pertinente pour la femme cycliste: conseils matos et mécanique, conseils techniques, tranches de vie de femmes cyclistes inspirantes (pas forcément des coureuses), le tout savamment bien illustré, un beau cadeau selon moi pour votre conjointe pratiquante.
Cyclosport – Entretenez votre vélo comme un pro – Luke Edwardes Evans
Pas un ouvrage aride de mécanique vélo fait pour ingénieurs patentés, avec croquis Autocad. Mais plutôt un ouvrage bien illustré qui s’attache à vulgariser l’entretien d’un vélo que chacun d’entre nous peut – et doit – faire, peu importe la marque du matériel. Conseils de nettoyage, d’entretien quotidien (beaucoup négligent cet aspect de notre pratique!), outils, vérifications à faire en cas de chute, pneus, freins, identifier les composantes usées à remplacer, une foule de chapitres utiles. On a même prévu un chapitre sur l’électronique et le numérique!
Grands crimes et petite reine – Olivia Dupuy
Un roman de fiction, ambiance vélo. L’histoire d’un meurtre qui va impliquer l’univers des courses et sponsors cyclistes. Pour se divertir tout en restant proche du milieu.
Bonne lecture à tous! Quant à Antoine Blondin, espérons qu’il me prêtera, d’où il est, un peu de son inspiration au cours des prochaines semaines… le rosé ne suffira pas j’en ai bien peur.
Pierrelevelophile
Merci pour ces découvertes, ça donne envie d’un peu de lecture pour cet été.
On peut y ajouter aussi « Deux jours en France à vélo » de Geoffroy Sébline, un beau livre pour se donner envie de partir pour 2-3 jours à vélo partout en France.
rocheto
Génial ce post ! Merci Laurent.
RAV :
https://www.hauteroute.org/fr/events/overview/crans-montana-2021-fr
semblait féérique.
Edgar Allan Poe
Ca fait envie, 220 bornes sur 2 jours pour 800 balles, avec certainement un maillot collector de l’édition 2021 et un tee-shirt finisher à arborer sur les aires d’arrivée du Tour de France (zone VIP exclusivement).
Tenue Rapha obligatoire au départ ?
J’y vais avec mon Lame Litespeed.
plasthmatic
‘Finisher’ : le pire mot de la sainte modernité.
Bon, pour la concurrence du ‘pire’ mot, y a d’autres clients, dans le nouveau lexique, ou le nouvel usage du lexique.
Eh, ça grince, là !
Bon, j’en connais des tas qui finissent, sans jamais investir le statut de finisher …
jean michel
Quand je termine une compet’, je prefererai un Tshirt « Terminator » que banal « finisher »…
noirvélo
On peut aussi beaucoup moins souffrir sur deux jours pour beaucoup moins cher , sur un autre parcours (mieux?) , seul (sans les culs devant le pif !) ou avec les bons potes « choisis » …
Chacun son budget , je ne juge pas , cette balade panoramique n’est pas dans le mien … Ce matin , 115 bornes , un sacré coup de cul de 4 bornes (encore un ! )dans le Schwartzwald avec mes deux bananes et un mini bloc de massepain …
J’ai le « destrier » mais pas « l’âme » qui doit aller avec , ni la Rolex … ni les cannes non plus !!!
Éric
« Chacun son budget , je ne juge pas »
Oui, mais ce type d épreuves phagocitent celles qui sont offertes aux budgets modestes. Un cyclisme à deux vitesses où les petites courses de clubs ont du mal à survivre face à celles des officines professionnelles qui ont pignon sur rue dans les médias, les réseaux sociaux et qui sont courtisées par les communes qui souhaitent remplir leurs hôtels au détriment des aides au petit club local.
Du cyclisme « entre soit » où la sélection se fait par la puissance, la vraie, celle du porte-monaie.
Heureusement, certains qui disposent pourtant du porte-monaie refusent ce cyclisme bourgeois et préfèrent se confronter dans des compétitions accessibles au plus grand nombre.
Quand à la sélection de livres, il me semble qu elle fait la promotion de ceux qui n en ont pas vraiment lebesoin. ..
Petite pensée à LBA, longtemps contributeur de ce site et même compagnon de route éphémère du créateur de ce site, auteur plutôt brillant de livres sur le cyclisme (livres souvent promis à l in-succés, faute d appuis et de promotion commerciale comme pour tant d autres auteurs inconnus du grand public).
plasthmatic
Pour les curieux des livres de Patrick :
https://www.amazon.fr/Patrick-BERNARD/e/B07TRSR43P?ref=sr_ntt_srch_lnk_1&qid=1623901584&sr=1-1
Qualité littéraire et précision sur les faits garanties 100 % matière grise.
rocheto
Trop ça :p
plasthmatic
« ceux qui sont encore capables de se concentrer plus longtemps que pour trois paragraphes de six lignes (ce qui trahit encore mon âge) »
Eh dis donc, quel rapport avec l’âge ?
Mon pote, 55 ans comme moi, ne lit pas une ligne, en dehors des revues et pages internet (et n’est pas du tout un décérébré ni un mal-cérébré). Mes enfants, au nombre de quatre, de bientôt 29 à presque 18 ans, lisent beaucoup, depuis leur plus jeune âge. Sans que ni la mère ni le père n’aient jamais rien intimé, moins encore fait la promotion de la lecture ; je déteste ça, les campagnes de promotion.
Je ne sais pas ‘lire le vélo’, ni dans les livres, ni dans les journaux. Je ne sais d’ailleurs pas lire le journal. Pas une foutue ligne. Le vélo que je lis, c’est celui que tu écris , mon vieux Laurent. Point barre, enfin, depuis que Patrick a cessé de publier sur son premier blog, ça fait longtemps maintenant.
Quant à Blondin, c’est, déjà, ‘Un singe en hiver’. On lui doit le roman, et en prime l’adaptation cinématographique : Gabin et Belmondo y sont des monstres.
Wolber
Parce qu on m’ en a offert quelques uns, je n ai jamais vraiment apprecier les écrits de Paulo la science. Un peu fades à mon goût.
Dernièrement , je me suis régalé avec un livre de Christian Eclimont ,sorti il y a quelques temps déjà ,( qui devait écrire , il y a longtemps dans Cyclisme international…très longtemps) intitulé Bad Boys du cyclisme . Des phrases et des mots choisis, à découvrir.
Sinon , un vieux Miroir du cyclisme , déniché je ne sais où, avec un éditorial de Jacques Marchand peut aussi être un régal…
Tchmil
C’est une chance quand on est passionné de cyclisme, car le vélo et la littérature font bon ménage. Il y a même des auteurs (et nombreux) qui s’aident de la petite reine pour écrire. Comme pour la randonnée, il semblerait que la pratique sportive soit encline à faire se synchroniser les neurones (un peu moins dans les rues de Montréal que sur la côté sauvage bretonne quand même 🙂 ).
Enfin, Vélo Mag est pas mal côté québécois. Les articles souvent intéressants, divers et même bien écrits pour beaucoup. On y parle moins du Tour de France certes, mais il y a bien longtemps que ces livres écrits pour le Tour sont souvent opportuns en cette période estivale. Le bouquin sur la gastronomie aurait ma préférence. Littérature, gastronomie, vélo … si tout le monde avait ces 3 centres d’intérêts le monde se porterait mieux
Pour l’inspiration de LFR, ça devrait aller avec un beau Tour de Woods qui tient la forme de sa vie. Il aura même Froome comme équipier, le luxe d’avoir un porteur de bidons à ce prix 🙂
D’ailleurs, les jeunes québécois brillent en France et n’ont été si nombreux depuis l’époque des Parisien, Laroche, Landry… Le dernier, Parisella, a l’air bien prometteur puisqu’il survole certaines épreuves de N2 avec son équipe des Sables-Vendée (à 18 ans).
En Dn1, la performance de Laurent Gervais m’a surprise aussi sur la Sportbreiz, une épreuve très relevée remportée par un ancien stagiaire de Trek-Segafredo. Il a l’air très régulier dans ses performances. Ayant déjà été professionnel aux Etats-Unis, il est un peu plus âgé mais sa régularité pourrait payer pour un passage à un niveau encore supérieur.
Wolber
En revanche, un Julien Gagné , du côté de Saint Etienne, un peu dans le dur, ces derniers temps.
Steph
Alors si on attaque la rubrique « Littérature et vélo » je ne peux me retenir de conseiller (et pas seulement en tant que niçois ) le bouquin de Louis Nucéra : Mes rayons de soleil. (Grasset 1987) Une perle, je n’en dirais pas plus 😉
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Nucéra
https://www.grasset.fr/livres/mes-rayons-de-soleil-9782246351412
Plus « spécifique » et du même auteur : « Le roi Réné » (Vietto)
http://www.gallimard.fr/Catalogue/Table-Ronde/La-petite-vermillon/Le-roi-Rene
KO
Il y a longtemps j’avais dévoré le livre de Olivier Dazat : Seigneurs et forçats du vélo.
mica
Oui steph, » Mes rayons de soleil » de Louis Nucera est remarquable et plutôt orienté « cyclotourisme »…..
Dans la même veine , je ne peux m’ empécher de citer « Mes rayons de soleil » de Pierre Roques, recueil de chroniques « cyclotouristiques ».
Ces chroniques paraissaient chaque mois dans feu « le miroir du cyclisme », chacune était un véritable petit bijoux….
La quasi homonymie des titre choisis était, en quelque sorte, l ‘hommage que L. Nucera rendait à P. Roques.
Comme trop de cyclistes, L. Nucera fut, hélas, victime d’ un chauffard, il y a bien des années………
P. Roques s’ est éteint dans son Béarn natal il y a 2 ou 3 ans.
PB07
Pour ce qui est de ses écrits sur le cyclisme, Antoine Blondin n’est jamais parvenu à accrocher mon attention de lecteur paresseux au-delà de quelques pages cédées à la discipline. Cela n’en fait évidemment pas un mauvais auteur, et le peu que j’ai réussi à percevoir en ferait même un bon.
Un bon auteur doublé d’un homme libre.
A ce titre, introduire puis conclure cet article qui se dit littéraire par des références à un maître reconnu par un milieu dont l’immense majorité ne l’a pas plus lu que moi est une trahison, un blasphème à la seule religiosité du gaillard : non, pas l’alcool, la liberté.
Six livres y sont présentés. Surexposés dans ce que l’intellectualité nationale sacralise depuis un an comme étant « la culture », sacralisation à fins de subventions, activité numéro un du monde dit libéral dont le dieu se nomme cash, j’ai pu feuilleter les cinq premiers à la fnac.
Il ne m’étonne malheureusement pas de retrouver les mêmes exposés ici, et de n’y lire aucune ligne sur l’excellent ouvrage d’un gars qui, quand même, gratifiait la Flamme Rouge de très beaux commentaires il y a quelques années, signés Matthieu. S’il se nomme Stelvio, on ne choisit pas son nom, cela ne suffit pas à signer chez un éditeur qui assurera ici et là l’exposition qui permettra d’en faire un grand auteur, le contenu ne compte pas.
https://www.amazon.fr/gp/product/2322236330/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i1 . Je n’avais aucune raison de savoir que le livre existe, et je ne suis guère curieux, il n’empêche que je l’ai su…
Seul compte l’entregent et l’entregent à un prix : l’entrave. Matthieu est un homme libre, son (ses) livre(s) le confirme, je le savais déjà parce qu’à l’époque je lisais la Flamme Rouge, et quand je lis je lis.
Antoine Blondin ne portait pas d’entrave (écartons encore l’alcool), enfin je crois et je le prends comme hypothèse, et si, sa, la liberté pouvait s’exprimer quelques décennies après guerre, celle qui suivait la Der des ders, elle ne le peut plus (sauf miracle de circonstances), le confort larvé nous l’a fait la gaspiller, suprême insulte à ceux qui l’avaient gagné pour nous. De nos jours, ceux qui vénèrent Antoine Blondin ne feraient même pas l’effort de le feuilleter, puisqu’aucun influenceur ne lui tiendrait la main pour le faire, sans oublier de le flatter.
Alors ils promeuvent les ouvrages de l’historien du cyclisme Jean-Paul Ollivier, dont il ne faut pas longtemps à celui qui lit quand il lit et qui écoute quand il écoute, pour savoir que le titre d’historien est usurpé. Ils promeuvent ceux d’un chef parce qu’un éditeur qui a pignon sur rue a misé sur le mot « chef », divinité qui fait rêver toute une vie, serrons-nous la ceinture à manger des pizzas surgelés infâmes le nez sur un écran sans même penser qu’on pourrait les faire soi-même, d’un « grand reporter tv » qui ressasse des photos forcément belles et des profils forcément impressionnants des cols du Galibier, d’Izoard, du Tourmalet, etc…, un guide du vélo féminin puisque, on est ouvert, il y a un vélo féminin, en attendant celui du vélo gay, ou juif, être-ouvert-ne-suffit pas-il-faut-encore-le-montrer, à défaut, peut-être, de l’être, et bien entendu l’incontournable production de la Société du Tour de France qui gratte des gains marginaux sur le dit cyclosportif, tout en utilisant la force publique pour empêcher le Bédouin pédalant de grimper la Lusette à la seule force du jarret deux heures avant le passage des coureurs; c’est du vécu, septembre 2020, Tour de France, Parc National en passant, 2000 voitures sponsorisées (j’ai compté) avec ses invités de la haute avant les coureurs, et des gendarmes postés qui interdisent de pédaler pour laisser passer ces voitures, et même, véridique, un peloton de cyclistes (dont pas mal motorisés) encadrés de la haute société qui avaient payé (cher, c’est pas pour vous, enfin pas tous, peut-être que ceux de Crans-Montana…) la Société du Tour pour, protégés par des gendarmes, avoir le passe-droit de monter le col avant Lutsenko et Alaphilippe, et ensuite de leur serrer la main (dans le contrat signé par les coureurs avec la Société du Tour, préalable à sa participation, figure la participation chronométrée à des soirées avec ces invités, c’est pas moi qui le dit c’est Philippe Gilbert).
Je veux croire qu’Antoine Blondin n’en aurait pas été, qu’il aurait préféré boire avec ses potes, les vrais; je veux croire. Antoine Blondin est devenu un produit. Reprends-donc un verre dans ta tombe, sa seule vertu te sera profitable.
Laurent
@PB07,
J’ai lu Blondin, tout. Lui-même parlait abondamment de l’alcool, il n’y a rien de déplacé que de l’évoquer.
Je ne peux évidemment pas tout connaitre! Si, avant de faire quelque chose, il faut tout connaitre de son contexte, personne ne fera jamais rien. Que de choses faut-il ignorer pour agir… Mais j’irai voir ou lire Mathieu.
Quant au vrai du faux, je suppose qu’il faut aussi du faux pour permettre le vrai?
lbi
Bon qui pense que rémy cavagna est propre?
Wolber
Quand Griezmann marque contre la Hongrie , qui pense qu il est propre? Ou plutôt qui se pose la question ?
Cavagna est peut être chargé comme une mule , mais ce que j ai vu hier ne m à pas choqué.
lbi
Oui mais qui regarde cette équipe de france de football?
Cavagna n’est même pas essoufflé après un clm à la fin de plus de 200 bornes. Du pur armstrong. Tu me diras on s’en fout aussi.
Tant que les grands cols sont ouverts cet été…
Wolber
Aaah, Lbi, toi, comme moi, on ne s en fous pas vraiment…hein! Dans le fond ça m emmerderait que le petit Cavagna soit une chaudière.
Après, les cols , L été , ça n a jamais vraiment été mon truc et le foot, depuis 1986 et l EDF au Mundial, ça ne m intéresse plus.
lbi
Le problème n’est pas tant qu’il se dope et que les autres en chient dans sa roue parce qu’ils ont pas la potion de bramati. Parce qu’on parle de 200 coureurs. Ce qui me chagrine est cette hypocrisie qui existe dans tant de domaines; les journalistes savent mais mentent éhontément. Ca ça me dérange. Mais bon ça m’empêche plus de dormir.
Éric
Et comment savoir qui est dopé parmi les 200 autres ?
Tchmil
Lbi, Rémi Cavagna est propre quand il sort de sa douche 🙂
Pour comprendre le dopage rien ne vaut une entrevue de Bassons, toujours très éclairé :
https://youtu.be/gf-N1pt2spk
Et comme on est au rayon littérature, le livre sur Christiane Ayotte, l’incorruptible, semble très intéressant. Dommage qu’il ne soit pas facilement accessible en France.
Celui de Verdy aussi mais il semble un peu trop parler à la première personne. Même si les anecdotes sont du vécu, mais certaines déjà entendues. Cela se ressent un peu trop à la promotion, je trouve.
lbi
Ou c’est bien le seul moment ou il est propre. Merci pour ta vidéo, il dénonce l’hypocrisie comme moi. 🙂