Demain sera escaladé contre-la-montre le Géant de Provence, si redouté, mais aussi si aimé, des coureurs cyclistes. Les occasions d’un tel clm dans l’histoire du cyclisme sont rares, et Cyclingnews nous présente un intéressant – bien qu’incomplet – texte à ce sujet.
Il est à prévoir qu’Armstrong se livre à fond, lui qui a toujours rêvé de s’imposer là-haut. Il avait les moyens de le faire sur le Tour en 2000, mais avait cru bon de laisser gagner un Pantani en voie de retrouver la grande condition. On connaît la suite de l’histoire… Toujours sur le Tour quelques années avant, le grand Éros Poli, coureur italien, parvenait à hisser sa carcasse jusqu’en haut de cette montagne en préservant une avance suffisante qui lui permettait de remporter l’étape au pied de la descente. Derrière, Indurain avait impressionné, amenant la plaque entre Chalet Reynard et le sommet, devant un Virenque et Leblanc à l’agonie.
En 1999 sur le Dauphiné, Jonathan Vaughters, excellent grimpeur américain et aujourd’hui à la retraite sportive, s’y imposait dans le dernier clm sur ce lieu mythique. Le dernier clm dans le Tour remonte à 1987, année ou Jean-François Bernard s’y imposait avec brio, dans un masque de souffrance à peu près inégalé à ce jour. Pour la petite histoire, Bernard Tapie, le manager de l’équipe Toshiba de l’époque, lui avait promis une Porsche s’il remportait l’étape… Bernard a longtemps conservé le véhicule.
Et que dire du malheureux épisode de la mort de Tom Simpson, en 1967, qui contribue encore aujourd’hui à inspirer la crainte chez ceux qui veulent s’attaquer au Géant de Provence ? Car les fortunes sont diverses et imprevisibles sur cette montagne qui réserve toujours des surprises de taille à ceux qui essaient de la vaincre.
Du Mont Ventoux, on dit d’ailleurs : « n’est pas fou qui monte le Ventoux mais est bien fou qui y retourne. » Le Ventoux est escaladé une fois et demie par les cyclos qui se lance dans la Ventoux, épreuve du Grand Trophée, et c’était dimanche dernier. Notre excellent confrère et ami Raphaël nous livre ici dans ce texte un compte-rendu de ses aventures sur cette cyclosportive redoutable.
Le Mont Ventoux a enfin inspiré certains cyclistes à former le club des Cinglés du Ventoux, dont le critère pour y adhérer n’est pas à la portée de tous puisqu’il faut atteindre le sommet trois fois au cours d’une même journée, et par trois routes différentes…
zwigli
Le Ventoux? Un must a faire au moins une fois dans sa vie. J’y ai croisé des cyclistes à l’entraînement il y a 5 ans, qui le faisaient… quelques fois pendant la même journée. Un autre genre de cinglés. Ça fait mal à grimper, mais ça vaut le coôt!!! Grimaces en perpective au Dauphiné!
zwigli
Le Ventoux? Un must a faire au moins une fois dans sa vie. J’y ai croisé des cyclistes à l’entraînement il y a 5 ans, qui le faisaient… quelques fois pendant la même journée. Un autre genre de cinglés. Ça fait mal à grimper, mais ça vaut le coôt!!! Grimaces en perpective au Dauphiné!
zwigli
Le Ventoux? Un must a faire au moins une fois dans sa vie. J’y ai croisé des cyclistes à l’entraînement il y a 5 ans, qui le faisaient… quelques fois pendant la même journée. Un autre genre de cinglés. Ça fait mal à grimper, mais ça vaut le coôt!!! Grimaces en perpective au Dauphiné!