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Le Club Espresso Bar de Montréal

La Flamme Rouge est née à Montréal il y a un peu plus de 15 ans.

Son avenir s’est peut-être joué hier au Club Espresso Bar de Montréal, un sympathique café cycliste que j’ai découvert avec le webmestre de ce site.

C’est pas compliqué, si vous êtes cycliste et que vous passez par Montréal, le Club est l’endroit où crécher. J’y retournerai, c’est certain!

J’ai pu y écouter le final (en reprise) de la Flèche Brabançonne hier après-midi, vraiment sympathique. Et quelle victoire d’ailleurs de Mathieu Van Der Poel qui mouche au sprint deux pointures, Alaphilippe et surtout Matthews. Rien à rajouter, Van Der Poel est déjà un sacré coureur et j’espère qu’il fera quelques Ardennaises parce qu’avec une telle condition, il peut espérer s’imposer sur l’Amstel comme sur la Doyenne des classiques. Sa maitrise hier du dernier kilomètre était impressionnante, la course en tête sans se poser trop de question, sûr de son sprint, Alaphilippe et Matthews ou pas.

Mais revenons au Club Expresso Bar. Idéalement situé à quelques encablures du pied de la montée Camilien Houde (3801 rue Saint-Denis), l’endroit propose une restauration légère, du café bien sûr, mais aussi quelques produits cyclistes intéressants. C’est résolument cycliste, le bar rappelant par exemple les courbes et les lignes d’une piste d’un vélodrome… Quelques maillots, de la déco, et une ambiance complètent le tout.

J’ai également pu échanger quelques mots avec l’un des proprio, Alex, qui me disait que l’endroit était plein les jours de classiques. Ambiance garantie! Chez Club Expresso Bar, on s’assure également de faire vivre la communauté cycliste de la ville: trois départs de sorties par semaine, souvent sur le Mont Royal mais aussi, les week-ends, vers les banlieues de Montréal.

Et à l’arrière de la boutique, on y trouve un atelier mécano, question de pouvoir offrir un service d’entretien et de dépannage aux clients-cyclistes, le temps d’un café. Molto bene!

À voir: la résilience selon Adrien Costa

« Il a l’élégance des esprits libres »

À ne pas manquer, ce très beau reportage de Stade2 sur le diamant brut qu’était Adrien Costa perçu par plusieurs, il y a encore trois ans, comme un des tous meilleurs talents cyclistes jamais vus.

Le petit vidéo de 11min est aussi accessible ici sur Facebook (sans geo-codage).

Après avoir plaqué le vélo très tôt, c’est la vie qui le plaque au sol. Depuis, son parcours a été pour le moins… unique et inspirant.

Surtout, ce qui frappe, c’est le regard lucide posé par le jeune homme sur le milieu cycliste, et qui explique son retrait prématurément: « Je crois que tout s’est passé tellement vite… de junior jusque faire des stages avec les meilleures équipes du monde, avec les meilleurs coureurs du monde que… après un certain moment tout commence à se répéter un petit peu… et c’est pas… c’est pas aussi glorieux qu’on en penserait. À la fin je me retrouvais un peu… un peu… vide, je me disais mais… je m’attendais à quelque chose de plus. »

Adrien Costa, un jeune homme qui pense et qui recherche du sens. Cette recherche de sens me rejoint. Beaucoup d’alpinistes en parlent également. Produire du sens à notre vie, puis vivre selon ce sens quel qu’il soit, c’est le secret du bonheur.

Et ceux pour qui, comme moi, la résilience a pris un autre sens depuis quelques mois, ça fait du bien.

Le Tour de l’actualité

1 – Dernière course de prépa aujourd’hui en prévision du Tour des Flandres dimanche prochain, À Travers la Flandre. Certains coureurs comme Sagan, Van Avermaet ou Stybar font l’impasse, afin de refaire des forces pour la Grand Messe du cyclisme belge. Au moins, ça a le mérite d’être clair sur leurs ambitions! Aucun doute cependant, on retrouvera aussi dans le final de la course des coureurs comme Van Aert, Van Der Poel, Lampaerts, Stuyvens ou encore Terpstra.

2 – Ronde bis. Ca s’annonce beau, clément, ensoleillé, peu venteux et avec des températures agréables pour le week-end prochain. Cette météo rendra la course moins sélective. Festival de chutes à prévoir selon moi!

3 – UCI. J’ai du mal à comprendre: on passerait à 20 équipes World Tour l’an prochain, soit deux de plus que cette année, pour revenir à 18 en 2023. Si on passe à 20 équipes, cela signifie-t-il que les organisateurs ne disposent plus d’autant de wild cards pour compléter le peloton avec des équipes plus « régionales », évoluant au niveau en-dessous? Ou on augmente la taille du peloton? Wait and see, mais je déplore que ces réformes de l’UCI ne soient jamais très claires pour nous, les amateurs de cyclisme…

4 – Excellente entrevue avec un coureur que j’ai beaucoup admiré plus jeune, Andy Hampsten. La classe, ce Andy, et une éthique irréprochable. Sympa aussi. J’irais bien volontiers le rejoindre à un de ces stages d’entrainement du Gavia!

5 – Rapha. Pour ceux qui aiment la griffe et le look Rapha, ils ont sorti une nouvelle chaussure récemment. Du beau matos. On dirait bien que le lacet revient à la mode depuis quelques mois!

6 – Souriez! Selon cet article, sourire régulièrement lorsqu’on fait du sport aiderait à atteindre de meilleures performances. Sourire augmenterait l’état de relaxation à l’effort, optimisant le rendement. Voilà la preuve qu’investir dans de belles dents est également profitable pour aller vite…

GlobalDRO, le site indispensable

Je ne comprends pas pourquoi nos fédérations cyclistes n’y ont pas pensé, n’en ont pas parlé.

C’est par l’intermédiaire d’un petit vidéo diffusé par Triathlon Québec que j’ai découvert ce site d’une grande utilité pour nous, sportifs amateurs.

GlobalDRO, c’est un site qui nous permet de vérifier si un médicament figure sur la liste des produits interdits pour le sport que l’on pratique.

C’est pas compliqué, t’a un putain de rhume qui te pourrit la vie depuis une semaine. Tu veux prendre du Advil ou du Benylin pour te soigner mais comme moi bien sûr, tu ne veux pas risquer quoi que ce soit quant à un contrôle antidopage hors compétition.  Même si à notre niveau, on a plus de chance de gagner à la lotto 6/49 que d’être visé par un tel contrôle…

Ben c’est pas compliqué mon chum, GlobalDRO.

Avec ce site, plus d’excuses!

C’est très bien fait, simple d’utilisation, clair et très pratique. Tu entres ton statut (athlète, entraineur, etc.), ton sport (le cyclisme et le ski de fond y figurent, pas de souci!) et le nom du médoc, et c’est parti mon kiki. Le site te dit si c’est utilisable en compétition, et hors compétition. On y donne quelques détails supplémentaires également.

À mettre dans vos bookmarks sans hésiter!

Sans titre. Sans mot.

La (dernière) revanche d’Alex Harvey

Milan SanRemo attendra 24h de plus, je ne peux pas passer sous silence les émotions vécues ce week-end grâce au fondeur québécois Alex Harvey qui concluait sa carrière chez lui, lors de la finale de la Coupe du Monde de ski de fond sur les Plaines d’Abraham à Québec.

C’est qu’outre le cyclisme, j’aime aussi – et de plus en plus – le ski de fond, un sport qui demande un engagement physique et mental total, un sport difficile, ingrat parfois, technique et complet.

Harvey s’est arraché samedi pour aller chercher une 2e place au 15km classique, littéralement porté par la foule. Les émotions étaient vives à l’arrivée, et il était difficile de contenir les miennes en le voyant ainsi! Dimanche, dans un contexte différent, il a aussi décroché la 2 place du 15km style libre, sa toute dernière course en carrière, après plus de 10 ans sur le circuit de la Coupe du Monde.

J’ai rarement autant vibré! Ces dernières années, même le cyclisme ne m’a pas apporté autant d’émotions.

Payez-vous les images des deux courses (samedi, dimanche), électrisant.

Surtout, je pense que la 2e place acquise hier en style libre a eu un doux parfum de revanche pour Alex, voire pour tout le clan Harvey (surtout son père Pierre) puisqu’il coiffe sur la ligne un russe, Bolshunov. Au départ, Alex lui a tapé dans le dos, sans doute pour lui dire « bonne course »; le russe est resté de marbre, comme si rien de s’était passé, ignorant jusqu’à la présence d’Harvey. Typiquement russe: antipathique.

L’ambiance n’est probablement pas au beau fixe entre Harvey et le clan russe, dont nombre de leurs fondeurs ont connu des résultats stupéfiants cette saison (Bolshunov, Ustiugov, Chervotkin, Larkov, Melnichenko, Spitsov). En effet, Harvey n’a jamais hésité à dénoncer le dopage (dont on connait aujourd’hui l’ampleur en Russie…), ainsi que sa frustration d’avoir vu deux russes le devancer lors de l’épreuve de 50 km des derniers Jeux Olympiques. Z’auraient même pas dû être là, les Russes…

Harvey et Klaebo ont laissé le bourrin russe Bolshunov courir comme un con hier, c’est à dire dans l’fond dès le départ, pour n’avoir aucun mal à le devancer dans les tous derniers mètres. Bulshanov a répété cette façon de courir « sans finesse aucune » ad nauseam cette saison, parfois avec de bons résultats étant donné sa force, mais souvent avec comme résultat de se faire moucher dans le final, surtout par les Norvégiens qui doivent être morts de rire de voir le bourrin russe répéter à chaque course la même erreur. Une fois Klaebo rattrapé hier, c’était Harvey qui avait le plus d’intérêt à ce que ca ne revienne pas derrière. Pas Klaebo, pas Bolshunov non plus!

Un vrai champion

Je ne me rappelle pas d’avoir admiré autant un sportif qu’Alex Harvey. Pas même un cycliste pro au cours des 30 dernières années.

Pour ses résultats bien sûr: après tout, Alex Harvey est le meilleur fondeur que le Canada a connu. Il y a d’abord eu Alex, le fils de Pierre. Aujourd’hui, il y a Pierre, le père d’Alex…

Pour son intégrité ensuite, dans un contexte qui n’a pas été facile ces deux dernières décennies: Alex Harvey fait partie des rares athlètes dans les sports d’endurance dont je suis sûr à 100% qu’il ne s’est jamais dopé.

Pour son humilité, sa modestie, sa politesse et son jugement également, des qualités qui lui viennent assurément d’un milieu familial et professionnel sain, attentif et structurant. Des valeurs à la bonne place, comme on dit!

Pour preuve, je n’avais jamais encore vu un athlète de son envergure terminer une conférence de presse en remerciant les médias de l’avoir si bien soutenu au fil de sa carrière, lui permettant notamment d’obtenir des sponsors. Pour avoir assisté à plusieurs conférences de presse avec Peter Sagan, je peux vous dire qu’on est loin de ça, ce dernier méprisant les journalistes.

Les témoignages de respect que lui ont porté ses adversaires durant le week-end dernier en disaient également long sur le gentleman qu’il peut être en course, et hors des courses. Klaebo, les autres Norvégiens, Pellegrino, beaucoup ont eu des gestes ou des mots touchants pour le champion québécois.

Enfin, sa fin de carrière ce week-end n’était que plus belle parce qu’il a eu le mérite de rester authentique durant sa carrière lorsque face à l’adversité. Loin de ces messages aseptisés contrôlés par les faiseurs d’image que nous servent la plupart des stars du sport, Alex n’a jamais hésité à parler franc et à nous confier ses hauts et ses bas, par exemple en janvier dernier où il a abandonné le Tour de ski pour rentrer à Québec, une première dans sa carrière à ce stade de la saison.

Parfois en effet, tout le monde a « besoin d’un break ».

Ainsi, Alex a su se tenir loin de l’image du champion construit, distant voire inaccessible, et je suis convaincu que c’est ce qui a conduit à sa popularité énorme au Québec et dans le monde du ski de fond en Europe.

Bref, je suis plus que jamais convaincu que les plus grands champions viennent des sports les plus difficiles, tout simplement parce que ces sports te gardent les deux pieds sur terre. Tu y prends souvent des sacrées claques, et donc tu ne perds jamais de vue l’humilité, la modestie et le respect de tes adversaires.

À l’heure où tout le monde parle de l’héritage d’Alex Harvey, pour moi c’est simple: il a redéfini ce que doit être un vrai champion. Parce qu’au delà de nous inspirer à être meilleur sur des skis et dans le sport, Alex Harvey nous inspire également à être meilleur dans la vie.

Salut, champion!

Alex Harvey: j’arrête au bon moment

Toujours intéressant de lire les entrevues avec le champion de ski de fond Alex Harvey, ce dernier n’ayant jamais de langue de bois. Chaque fois, Alex nous permet de mieux comprendre la vie d’un athlète de haut niveau, qui est souvent loin de ce qu’on peut imaginer.

Et bien sûr, retour sur quelques déceptions, dont les derniers JO, ainsi que le dopage dans le sport.

À ne pas manquer!

Et plus que quelques jours avant sa retraite sportive…

Scandale de dopage dans le ski de fond

« Je ne suis pas surpris du tout »  (Alex Harvey, champion canadien de ski de fond présent aux Mondiaux)

« C’est presque irréel comme situation. On pensait vraiment qu’on en avait fini avec ces scandales, que le monde avait compris que ca ne faisait pas partie de notre sport. C’est vraiment surprenant« . (Pierre-Nicolas Lemyre, Ski de fond Canada)

Ces citations sont tirées d’un article publié dans La Presse Plus ce matin. Cet article porte sur la récente descente policière qui a eu lieu dans le cadre des Championnats du monde de ski de fond qui se déroule à Seefeld en Autriche. Un des athlètes se serait fait prendre l’aiguille dans le bras, en pleine transfusion!

Au moins 4 athlètes présents se seraient fait piqué, ainsi qu’un médecin et un complice. On a affaire à un réseau qui dopait des athlètes de la Coupe du Monde de ski de fond depuis plusieurs années, et qui opérait notamment via Erfurt en Allemagne.

Fait intéressant, le médecin impliqué et d’autres acteurs de ce réseau seraient liés au monde du cyclisme, ayant oeuvré dans certaines équipes cyclistes pro allemandes dans le passé, comme la sulfureuse Gerolsteiner ou encore Milram. Le présent scandale pourrait avoir des ramifications dans d’autres sports écrit-on, et on pense bien évidemment en premier lieu au cyclisme professionnel.

Je me réjouis de telles opérations policières, car pour moi la seule vraie façon de lutter contre le dopage. Les tests ont depuis longtemps montré leurs limites, les athlètes et les médecins savent aujourd’hui comment les déjouer, notamment en pratiquant un dopage plus « chirurgical » qu’auparavant, fait de micro-doses ne provoquant pas de fluctuations dans les suivis biologiques et s’effaçant rapidement dans le corps humain. Aujourd’hui, le dopage sanguin est selon moi arrivé à « maturité » après 30 ans de pratique: on le maitrise parfaitement, c’est à dire qu’on est capable de préserver la santé de l’athlète (il y a moins de morts subites) tout en déjouant aisément les contrôles.

Je me réjouis moins de constater le décalage stratosphérique entre les perceptions d’un athlète comme Alex Harvey et des officiels de Ski de fond Canada, les deux semblant vivre sur des planètes complètement différentes.

Et pour moi, il est notamment là le problème.

Encore du dopage dans le ski de fond et le cyclisme? Bien sûr que oui!

Avons-nous déjà oublié le scandale des athlètes russes, pourtant pas si lointain? Plusieurs skient avec Alex Harvey sur ces Mondiaux.

Comment se fait-il que des fédérations supposées travailler à promouvoir un sport sain, dans le respect des règles, soient si décalées de la réalité?

Pas rassurant tout ca, surtout dans le contexte où c’est un peu le bordel actuellement à l’Agence Mondiale Anti-dopage qui fait face à une crise existentielle autour de son indépendance par rapport au CIO et aux fédérations.  Rappelons simplement que la crise est suffisamment grande pour que des ex-athlètes comme la canadienne Beckie Scott aient claqué la porte de l’agence ces derniers temps…

Pas bon tout ca!

Ski de fond Canada aurait intérêt à écouter un peu plus les athlètes canadiens qui évoluent sur la Coupe du Monde de ski de fond afin de rester en contact avec la réalité… car il serait important de tenir compte de cette réalité. Y’a des 4e places qui valent de l’or… et des budgets qui doivent suivre.

Je suis triste aujourd’hui pour Alex Harvey, qui a annoncé sa retraite pour la fin de la présente saison de ski. Tout cela doit lui laisser un goût vraiment amer. Il aura besoin du soutien de son public sur les Plaines d’Abraham fin mars afin d’être rassuré, alors qu’il tirera sa révérence: ce public sait plus que jamais j’en suis sûr reconnaître les vrais champions.

Une course enlevante

Question de revenir au sport, le relais féminin 4x5km ce matin a donné lieu à une course enlevante, extrèmement excitante entre Norvégiennes et Suédoises. Quel finish! Une de meilleures courses de ski de fond ces dernières années!

Deux vidéos sympathiques!

On sera nombreux à se reconnaître totalement ou en partie dans ce très sympathique petit vidéo incarnant le profane qui veut s’initier… Merci à mon ami Fred pour le tuyau.

Ici, l’expérience très récente du Team Sky en Colombie, alors que l’équipe s’apprêtait à disputer le Tour de Colombie, cette semaine. Dépaysant, et qui témoigne de la passion de la Colombie pour le sport cycliste.

Les premiers Championnats canadiens de « gravel bikes » (non-officiel!)

Aucun doute que la discipline du « gravel bike » se développe au Canada comme ailleurs. Les adeptes de cette forme de cyclisme, qui aiment arpenter les routes non pavées des arrières-pays, adhèrent également à une « culture » alternative à celle, plus traditionnelle, de la route, même dans le look et l’attitude! (la barbe est fortement recommandée, de même que des vêtements cyclistes dans les tons de gris, bruns, ou beiges).

Chose certaine, la recherche d’une certaine « aventure », d’une certaine « liberté », d’une certaine « découverte » est certainement au coeur du gravel bike, qui donne accès à des petites routes fort agréables, loin des grands axes routiers, et souvent situées au coeur des milieux ruraux des régions.

Je pense qu’il faut aussi aimer le « single line » plutôt que la compagnie d’un peloton tout entier, le gravel bike se pratiquant souvent un coureur derrière l’autre, en une seule file plus ou moins longue. La faute à la recherche de la meilleure ligne ou trajectoire possibles sur les chemins de gravier, qui n’offrent souvent qu’une ou deux options en ce sens.

La nouvelle d’aujourd’hui est sympathique et a été diffusée récemment sur Canadian Cyclist: les premiers championnats canadiens de gravel bike auront lieu le 1er juin prochain dans la région d’Ottawa, plus précisément dans le Lanark County (autour de la ville de Perth), apparemment la capitale canadienne du gravel bike.

L’initiative émane de clubs cyclistes de ma région, notamment Nine2FivePro, aussi soutenus par EuroSport, une boutique de vélo et de ski de fond du secteur.

Toutes les infos sont disponibles ici. L’épreuve comptera environ 85 kilomètres de gravel. Je soupçonne plusieurs de mes amis de ne pas vouloir manquer ça…

Le maillot de « champion national » a en tout cas de quoi faire sourire!

#rafraichissant!

Dément!

Le Mégavalanche, c’est mythique… et un peu fou. Très belle vidéo de la descente d’un participant cette année. Pour moi qui me suis mis au Mtb depuis 18 mois, y’a de quoi s’inspirer!

Merci à mon ami Marc pour le lien.

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