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Rooks, Boonen, le ProTour au Québec

1 – Steven Rooks, vainqueur du classement de la montagne sur le Tour 1988, publie ces jours-ci un livre dans lequel il avoue avoir fait usage, dès 1989, d’EPO. Voilà donc un autre coureur de la fin des années 1980 et du début des années 1990 qui passe aux aveux.

Par osmose, Theunisse est probablement à loger à la même enseigne, les deux faisant la paire à ce moment.

2 – ASO a interdit à Tom Boonen de participer au prochain Tour qui s’élance cette année de Monaco. Prouvant encore une fois que ce sont les coureurs qui ont besoin du Tour et non l’inverse, Boonen et son équipe Quick Step poursuivent en justice ASO puisqu’ils estiment que la décision est injustifiable.

Dans ce nouveau litige, je dois dire que si je reconnais le droit aux organisateurs du Tour de choisir qui ils veulent pour disputer leur épreuve, je suis gêné par une politique en apparence "à la tête du client". Si on refuse l’accès au Tour à Tom Boonen, pourquoi le permettre à Bjarne Riis et son équipe, lui qui a avoué avoir usé d’EPO lors de sa victoire du Tour 1996 ? Si la présence de Tom Boonen sur le Tour 2009 pourrait "nuire à l’image et aux valeurs que veut véhiculer ASO", comment la présence de Riis les valorisent-elles ?

Je l’ai déjà affirmé, je le redis, les coureurs pris pour dopage devraient, en plus de sanctions sportives, être bannis à vie d’oeuvrer, de près ou de loin, dans l’entourage des équipes cyclistes professionnelles.

3 – On annonce depuis hier que deux courses du calendrier ProTour 2010 se dérouleront au Québec au début septembre. L’organisateur de ces deux épreuves, l’une à Montréal et l’autre à Québec, ne serait nul autre que Serge Arsenault, celui-là même derrière l’organisation, à la fin des années 1980 et au début des années 1990, du Grand Prix des Amériques, une épreuve qui avait alors obtenu le label "Coupe du Monde".

C’est évidemment une excellente nouvelle pour le développement du cyclisme ici ainsi que pour tous les amateurs de cyclisme du Québec. Reste à en savoir un peu plus sur ces deux courses, leur parcours, leur distance, etc.

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17 Commentaires

  1. colt seevers

    c’est le « dès 1989 » qui est hilarant.

    Rooks était connu pour avoir fait sa carrière aux amphétamines et à la testostérone.

    Dès 1989. Rooks.

    On tient là le paradoxe dit du « menu fretin ». S’envoyer de l’epo -pour de maigres résultats par ailleurs-.

    Par déduction, tous les podiums de grands tours dès 89 se sont ils faits au moins à l’epo?

    Dans l’histoire officieuse du dopage, peut on tracer une ligne après lemond, qui semble t’il n’a pas pu franchir le seuil du dopage sanguin. Doit on inclure ou pas roche ou delgado dans les victoires sous EPO? Roche était sous epo en 93, une enquête l’a rapproché de conconi et on lui attribue les surnoms de rossini, rossi ou rocca.

    Les feuilles mortes du dopage se ramassent à la pelle.

  2. delirium89

    en fait aujourd’hui tous les vieux briscards font un bouquin en avouant et hop à eux les pepettes.
    Chers amis cyclistes passons nous de lecture

  3. Dave

    Je pense que Rooks nous mène en bateau quand il dit « après 1989 ».
    Il cherche juste préserver des doutes ses deux meilleures années, 88 et 89.
    A mon avis, il est avec Theunisse le premier de ces grands gabarits qui se métamorphosent en grimpeurs grâce à l’EPO. Ils annonçaient Indurain, Riis, Zulle etc. (et Patrick Chêne s’extasiait au micro de France 2 sur ces « élégants grands grimpeurs)

    Plusieurs éléments vont dans ce sens :
    1) ses résultats en 88 on été d’un coup très supérieurs aux années antérieures, surtout sur le Tour
    2) l’EPO a été expérimentée en premier par les hollandais… malheureusement avec plusieurs morts (Bert Oosterbosch en 89, Johannes Draaijer en 90)
    3) Lemond a expliqué que c’est en 1988 chez PDM qu’il avait frôlé le dopage sanguin de plus près, or Rooks était chez PDM ces années là (voir http://www.lexpress.fr/actualite/sport/les-coureurs-dopes-sont-comme-des-toxicomanes_476155.html)
    4) 1988 est souvent citée comme l’année d’arrivée de l’EPO dans le sport (aux JO de Calgary)

  4. colt seevers

    merci, c’est un bel article. Le coup de roger legeay qui prive les gars de dessert parce qu’ils n’avancent plus au giro, le parcours de casado mort à 30 ans, la faible capacité respiratoire d’armstrong, le portrait de landis et la fameuse face indétectable du dopage -l’hormone de croissance-

    Le passeport biologique pourra très bientôt en détecter l’usage indirectement.

  5. legafmm

    aucun « repentis » parmis les suiveurs sur le Tour ds ce cas, pourquoi s’arrêter sur le pov riis, dehors fignon / virenque / leblanc qui officient tous sur une radio/tv, et tous les autres, madiot par exemple oust …. non faut arrêter toutes ses conneries, appliquons déjà le reglement, ce sera déjà pas mal, mais nous les français c’est ds notre nature, tojr plus blanc que blanc, c’est exapérent.

  6. Pantarosa

    Rooks chargé, quel scoop !!
    Tout le monde sait que les PDM ont été les premiers de la liste !
    Cela étant, le cas ROOKS est l’exemple frappant que l’EPO n’a pas des effets demesurés,et n’a jamais transformé un cheval de trait en super, n’en déplaise aux intégristes…
    Car ROOKS, révélè sur Paris Nice 83, a gagé cette année là LBL… Puis a bien figuré dans plusierus Dauphiné, a gagné l’Amstel, fini dans les 10 du Tour du Tour 86, le Tout sans EPO, on peu en être sur…

    A l’inverse, un gars come ROCHE qui avait une classe hors norme, n’a pas été meileur sous EPO que lors de sa grande année 87 et lors des années 83 ou 85….

    CQFD ? Réponds moi Alain39 !! ( consultes les palmarés avant quand même !!)

  7. Dave

    @ Pantarosa : je pense qu’on ne savait pas encore utiliser l’EPO de manière optimale dans ces années là (d’où les morts, les ratés comme chez PDM en 91, les résultats en dents de scie). Voir le livre de Willy Voet qui explique qu’en 93 les Festina en ont pris sur le Tour « sans connaître le mode d’emploi » et que ça n’a rien donné de flagrant.
    En revanche, en rpise très régulières (100x par an…) couplé à l’hormone de croissance et aux anabolisants, ça changeait tout (voir Festina en 94-98).

  8. Louis

    Ben oui rooks et après… c’est même plus une surprise…

    Les deux nouvelles courses au Québec ça c’est toute une surprise!! Je me demande bien quels seront les parcours. À Québec je verrais bien une boucle avec départ-arrivée près du Chateau Frontenac, grande boucle dans Portneuf et retour par chacune des bosses qui longent le fleuve avec comme dernère la côte de la montagne.

    À Montréal j’imagine qu’ils vont prendre le même parcours que la Coupe du Monde féminine ou celui des Championnat du Monde dans les années 70. J’y rajouterais 1 ou 2 bosses dans Westmount histoire d’allonger/durcir le parcours.

  9. Roger13

    Pas d’effet démesuré l’EPO ?

    Sur une grande partie des cyclistes de cyclosportives: Certainement pas beaucoup.

    Sur un cycliste pro avec des muscles performants et avec un tau d’hématocrite naturellement pas trop élevé, l’effet est « phénoménal ». En gros la puissance tenue normalement sur 5 min peut être tenue pendant 1 H.

    Les aveux de Rooks sont un petit peu faux surement et EPO un an avant plus probable.

  10. alain39

    Il est difficile de juger des effets de l’EPO alors qu’elle en était à ses balbutiements.
    Il semblerait que le protocole médical soit très élaboré et donc une simple prise occasionnelle ne pouvait donner des résultats immédiats.
    On a vu par la suite que les traitements étaient lourds et que seuls une poignée de spécialistes savait pratiquer les bons dosages entre EPO, hormones de croissance, testostérone et autres produits.
    Ceci étant les aveux de Rooks confirment mes impressions et ce notamment sa victoire sur le chrono en montagne du tdf 89 ce qui à l’époque m’avait étonné.
    Je continue à croire que ce tdf 89 a été le théâtre de l’arrivée de l’EPO et le chrono de Lemond (qui m’avait aussi étonné)pourrait ainsi être expliqué (meilleur moyenne pendant plus de 15 ans et ce à la fin d’un tdf particulièrement éprouvant).
    La suite de carrière en dent de scie de Lemond serait alors plus compréhensible. Comment expliquer qu’un gars à près de 2 heures sur le giro puisse 4 semaines plus tard dominer le tdf. D’ailleurs Armstrong avait menacé Lemond de révélations, lequel Lemond avoue qu’en 92 ou 93 il avait rencontré Ferrari. Ca fait beaucoup.
    Il est intéressant de voir que les aveux semblent être corroborés par les palmarès et ce dès 90:
    – Giro: Bugno (qui domine sur tous les terrains laissant Mottet au sommet de son art à plus de 6mn)
    – Paris Nice: Indurain (c’était assez compréhensible car ce type de course correspondait à ses qualités)
    – tirreno: Rominger
    – Vuelta: Giovannetti (qui se souvient de lui qui fit 3ème du giro la même année)
    – MSR: Bugno (après une longue échappée ce qui est très rare. Exploit qui sera renouvellé l’année suivante par Chiappucci)
    – Flèche et ronde: Argentin (le revenant qui ne gagnait plus rien depuis 87)
    – Paris Roubaix: Plankaert (qui a avoué avoir pris de l’EPO à cette époque)
    – Classica san sebastian: Indurain (après un tdf achevé dans les 10 1er et surtout où on le découvre grand grimpeur)
    Une nouvelle génération venait de prendre le pouvoir sur tous les terrains.
    Cette même génération qui avait du mal a percer s’est métamorphosée en l’espace d’un hiver. Une sorte de génération spontanée.
    Aussi les révélations de Fignon et Rooks vont quelque part dans le sens de l’histoire et de ce fait ne m’étonnent guère.
    Le cyclisme français qui a cette époque débordait de champions et d’espoirs (Fignon, Mottet, Bernard, Delion, Philippot etc…) est passé à la trappe et ce faute d’avoir su s’adapter car très certainement empétré dans ses vieilles habitudes de dopage totalement dépassées. Les aveux de Fignon sont assez convaincants sur ce point considérant que l’on ne peut fabriquer un champion ce qui s’est avéré être archi faux.
    Il est quelque part sain que ces anciens champions apportent leurs témoignages et ce quand bien même il peut y avoir de l’amertume dans leurs propos tant leurs destins et celui des champions des années 90 semblent si différents (dopage, fric, champions fabriqués en un rien de temps, carrières éphémères).
    Quelque part ils se sentent peut être les derniers représentants d’un cyclisme authentique en ce sens que les champions étaient identifiés très jeunes et que malgré le dopage ils savaient pertinemment que leurs victoires étaient principalement dues à leurs qualités athlétiques.
    Je me doute qu’ils ont dû se prendre une sacrée baffe lorsque du jour au lendemain ils ont été incapables d’influer sur la course et ramenés à assister à la victoire de leurs équipiers ou de coureurs qu’ils savaient physiologiquement moins forts qu’eux.
    Il y a de quoi avoir le bourdon et donc de passer à des aveux certes un peu trop tardifs pour être pleinement efficaces.
    Avec l’EPo on en a pris pour 20 ans (de mensonges) et c’est bien trop long.

  11. legafmm

    « Quelque part ils se sentent peut être les derniers représentants d’un cyclisme authentique en ce sens que les champions étaient identifiés très jeunes et que malgré le dopage ils savaient pertinemment que leurs victoires étaient principalement dues à leurs qualités athlétiques. »

    putain tu m’mets la larme à l’oeil, champion authentique, quelle blague …

    pourquoi ullrich ne peut pas être considéré un champion authentique, il a été champion du monde amateur très jeune (le plus jeune de l’histoire), il avait quelque chose de plus que les autres lui aussi.

  12. alain39

    Tout à fait d’accord avec toi legafmm sur Ullrich qui était certainement le plus doué de sa génération.
    Mais le dopage scientifique est venu fausser les valeurs et il ne fut qu’un excellent second d’un coureur qui disposait de qualités physiques moindre.
    C’est justement là que réside la grand ediféfrence entre avant et après le dopage scientifique puisque les coureurs ne sont pas égaux tant au niveau des traitement prodigués que des effets sur leurs performances.
    Il semblerait que certains en tirent un meilleur avantage et celui ci est si important que celà vient irrémédiablement fausser la hiérarchie.
    Je pense que l’on peut parler de vol car des coureurs qui n’auraient jamais dominé deviennent des cadors. Chiappucci, Riis, Ugrumov, Indurain en sont de parfaits exemples eux qui avant la prise d’EPO était seulement de bons ou très bons coureurs et ce après plus de 7 années de professionnalisme dans les jambes mais certainement pas des grands champions.
    On peut penser que sans dopage Ullrich était en mesure de battre Armstrong, mais voilà nous ne le saurons jamais.
    Je me doutais que la référence faite à un cyclisme authentique allait attirer des remarques mais il s’agit d’un moyen de faire la scission entre le cyclisme ou le dopage reste à la frange et celui qui est totalement articulé autour du dopage.
    Depuis 20 ans nous vivons une guerre de dopage et les victoires en sont totalement dépendantes.
    Avant le dopage donnait un petit plus maintenant il est l’élément central et les grandes équipes recherchent en permanence les protocoles les plus efficaces chacun étant aménagés personnellement selon les qualités des coureurs. Les médecins et même maintenant les juristes ont pris le pas sur le sport et sont devenus des rouages essentiels.
    Ce cyclisme s’articule autour d’autres valeurs tant physiques que financières et les champions du passé ne seraient peut être même pas parmis les 50 1er mondiaux.
    Qui sait si un Hinault peut favorisé par le dopage sanguin (c’est une hypothèse) n’aurait peut être jamais gagné le moindre tdf alors que nous savons tous que sur ses qualités physiques il en a gagné 5.
    Voilà ce qui est le plus rageant c’est de ne plus avoir de repères et donc de ne plus pouvoir apprécier un exploit sans se demander ce qui se cache derrière.
    Je rejoints donc Rooks lorsqu’il identifie 89/90 comme année d’arrivée de l’EPO. Les résultats parlent ainsi que les moyennes qui à partir de 90 ont réellement fait un bond notamment sur les chronos.
    Les tdf des années 80 se gagnait entre 35 et 38 de moyenne ceux des années 90 entre 38.5 et 40.2.
    Un gouffre entre les 2 époques alors que nombre des vanimateurs des années 90 participaient déjà au tdf des années 80.

  13. Pantarosa

    Alain 39…

    Pourrais-tu, s’il te plaît, cesser de nous ressasser les mêmes histoires…
    Petit rappel pour toi : 21 Mars 1990, Le FIGARO, MONDENARD nous parle de L’EPO, relayé par BRUNEL peu après… 20 ans que l’on sait, pas la peine de nous ressortir BUGNO et GIOVANETTI, qui d’ailleurs, était un coureur très resistant, et n’a pas confirmé chez GATORADE, sic..

    Ce qui est encore plus énervant, c’est que, en plus,Tu sors des contreverités, sur MOTTET par exemple, qui n’a jamais eu l’étoffe d’un vainqueur de grand Tour, sur PHILIPPOT, 2 ième à LIEGE par hasard ou BERNARD, archi irrégulier et sans mental..

    Pas la peine de nous ressortir les palmarès, que tout le monde peut trouver sur Internet…

    Que les choses soient claires : Oui l’EPO est apparu en 89 ( Flavio Giupponni ???)/90. On le sait. Point Barre.

  14. Tiphaine

    Allo, allo ?
    C’est bien « Canal Doping » ?

  15. alain39

    @ pantarosa
    Je ne vois pas de quel droit tu peux demander à un autre participant de cesser de donner son opinion sur un article de Laurent et ce d’autant plus qu’il répond à ton post n°6. J’avoue ne pas comprendre cette versatilité.
    Pour répondre à ta demande (qui avait du sens bien que je ne l’ai pas limité à Rooks mais faite porter sur l’année 90) et par souci d’objectivité je me suis permis d’apporter une réponse en reprenant le palmarès de l’année 90 qui à mon humble avis est assez révélateur.
    Certes, j’avoue avoir été un peu long dans ma démonstration et quelque peu emporté par ma passion.
    Ton jugement sur Mottet est à nuancer car je te rappelle qu’il a fini à moins de 26 ans 4ème d’un tdf, 2eme d’un giro, gagné 2 ou 3 dauphinés, un tour de l’avenir. Ce ne sont pas des contre vérités comme tu le prétends mais des faits.
    Aussi, personnellement je le catalogue donc comme un coureur de grands tours dont le palmarès ne reflète pas complétement les qualités.
    Je persiste à penser (celà n’engage que moi) qu’il a été une des principales victimes du dopage scientifique.
    Sur Giovannetti je ne peux apporter la moindre nuance à tes propos car franchement avant son année 90 je ne me rappelle pas de lui. Ni d’ailleurs après.
    Pour mémoire à la fin 89 la presse internationale s’accordait à reconnaitre la grande qualité du cyclisme français et son réservoir de champions (Fignon, Delion, Mottet, Bernard, Marie, Philippot, Bezault, Boyer….excusez du peu).
    Le cyclisme italien était au plus bas et celui espagnol faisait face à une génération veillissante.
    L’année 90 et les suivantes ont totalement démenti ce constat car aucun de ces coureurs n’a pu se construire un palmarès digne de ses qualités.
    Pour toutes les raisons exposées ci-dessus je ne peux donc que prêter crédit au constat de Rooks qui a le mérite d’être étayé par les faits.
    Concernant le palmarès de Rooks je te laisse le soin de consulter internet.

  16. binzer

    bonjour, concernant Ulrich, il a été formé en ex RDA 92 qui relativise la précausité de ses performances en junior

  17. Roger13

    « ..concernant Ulrich, il a été formé en ex RDA 92 qui relativise la précausité de ses performances en junior.. »

    ça relativise rien du tout. Les faits montrent que le dopage était bien installé (y compris chez les très jeunes) dans bon nombre de pays. En RDA la planification nationale avait l’avantage de sélectionner vraiment les meilleurs jeunes et de les doper ensuite pour les compétitions internationales. Dans les autres pays, les jeunes se dopent pour se faire remarquer au niveau national d’où une moins grande efficacité.

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