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Quel choix de matériel ?

À 60 jours exactement de ma 9e participation à la cyclosportive La Marmotte dans les Alpes françaises, la préparation va bon train. Les sorties allongent, j’en suis à 150 kms avec comme objectif de faire quelques sorties de 6h d’ici 2 ou 3 semaines. La condition est bonne, malgré quelques allergies au pollen qui me limite un peu lorsque je dois taquiner les hautes intensités. 

Une question me hante toutefois: quel choix de roues ? Deux possibilités: Campagnolo Bora ou Campagnolo Shamal Ultra. La première est toute carbone et montée sur boyaux. La deuxième est toute alu et montée en pneus. Leurs poids respectifs est équivalent.

L’hésitation provient du freinage sur roues carbone, nettement moins incisif que sur roues alu. Plutôt bon descendeur, j’affectionne les freinages tardifs, les prises de carres et les relances. Les Bora m’ont limité il y a quelques années, mais les patins de freins se sont améliorés depuis. 

Changer un boyau en cas de crevaison est également plus chiant qu’une simple chambre à air.

L’avantage des Bora est évidemment dans les descentes, étant plus aérodynamiques et plus rigides dans les relances. En cas de vent violent cependant, ca peut être un peu galère. 

Bref, y’a du pour et du contre. N’hésitez pas à partager vos commentaires avec moi, cela revient en quelque sorte à discourir des roues les plus avantageuses en haute montagne pour les pratiquants que nous sommes, avec une limite à nos budgets (du moins en ce qui me concerne!). 

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28 Commentaires

  1. eric

    Bonjour,

    « plaisir et performance » vs « fiabilité et commodité »

    BORA = « plaisir et performance »
    – plaisir de rouler sur une paire de roues en carbone pour la beautée et les sensations
    – performance pour le gain sur le plat et les descentes sans lester les montées au vu du poids en périphérie et bon freinage avec des patins swissstop jaune

    SHAMAL = « fiabilité et commodité »
    – fiabilité des jantes alu en cas de trou ou de choc car on peut encore rouler
    – commodité du changement de chambre à air et du gain de place dans les poches

    BILAN

    Pour le partisan du carbone :
    gain de temps de 3min sur une marmotte + changement de boyau équivaut à changer un pneu en cas de grosse coupure ! (et oui on ne prend jamais de pneu avec nos chambres à air pourtant lors d’une grosse entaille la seule chambre ne suffit pas…) + si on a du bon matos autant s’en servir sinon autant rester chez soi

    Pour le partisan de l’alu :
    c’est la carte de la sécurité, on a plus de chance de finir la marmotte sans casse et sans problème de freinage (pluie…) sans compter la simplicité du montage et en plus on trouvera toujours quelqu’un pour nous dépanner

    => MA Conclusion
    traverser l’Atlantique implique des frais et une bonne préparation (on ne vient pas faire la marmotte de si loin juste pour plaisanter) et il serait dommage de tout gâcher pour une paire de roues… c’est pourquoi je privilégie dans ton cas la fiabilité avec une paire de roues alu (tes Shamal)

    Sportivement,
    Eric

  2. alex74

    La descente du Lautaret est toujours en mauvais état jusqu’ à Lagrave et je pense que cet hiver n’a pas dû arranger la chose… Il serait dommage de briser des Bora dans un trou. Conclusions entre la fiabilité/robustesse de la roue alu + qualité et l’ endurance du freinage, la Shamal s’impose pour cette épreuve.

    Salutations.

  3. plasthmatic

    Laurent, il faut faire rapidement un sort à ce genre de hantise ! La sérénité sur la ligne, pour une Marmotte, c’est mieux.
    La question des braquets peut « hanter », comme tu dis. Tu connais le parcours, tu te connais sur ce parcours : elle ne doit pas se poser à toi. La question des roues me semble plus « simple » : il y a trop à perdre, et trop peu à gagner. Si peu, certainement.

    ASO avait organisé « l’Etape de Légende », le 23 septembre 2007. Strasbourg-Ballon d’Alsace, 218 km ; on a eu une véritable journée d’été, le bol.
    Damien Richard (6h40 à la Marmotte) s’apprête à y jouer devant. Eh, modestement, il est un garçon discret, et très modeste. Mais devant quand même.
    La veille, pour aller chercher le dossard avec ses amis, il laisse bien au chaud sa paire de roues à boyaux, je sais plus laquelle exactement, à l’hôtel, histoire de leur éviter les nombreuses agressions des routes et bas-côtés de la cité alsacienne. C’est donc avec un matériel en parfait état qu’il prend le départ du dimanche matin.
    On avait une heure de plaine (40 km), puis ça n’a été qu’un long toboggan jusqu’à l’arrivée là-haut, au Ballon.
    Après quoi, dix kilomètres je crois, peut-être vingt, Damien perce. Merde.
    Bas-côté, réparation « qui ne rigole pas », pas tellement de sérénité, le long serpent qui te passe sous le nez, à plus de quarante à l’heure,…, tout espoir de disputer sa course « à sa place » envolé. Pour finir, il bâche … Pas le genre de la maison pourtant.

    Bon, voilà, c’est une autre façon de te proposer la même conclusion qu’Eric.

    Damien, j’ai jamais pensé « t’as vu », « y avait qu’à ». Quand je l’ai croisé à l’arrivée et qu’il m’a raconté sa mésaventure, j’ai simplement été malheureux pour lui. Ce jour-là, au vu du classement et des bonhommes y figurant, Damien, il jouait entre cinq et dix. Pas rien. Il a fait le camion balai, puis une voiture.
    Damien, c’est une valeur « sûre ». On l’est tous, si on se connaît, « sûrs à notre valeur ».

    Alors quel risque, voire quel dommage que d’ajouter de l’incertitude par un choix de matériel « moins certain ».

    De l’alu, et des pneus …

    Plus généralement, hum … : il y a des chances pour que la sérénité, ça passe par le deuil. Hum …

  4. stef

    Bora derriere et Shamal devant.

  5. Rej

    Sans aucune hésitation les Bora, j’ai également des shamal et des lightweight que j’utiliserai d’ailleurs pour la Marmotte. Une crevaison restera toujours une crevaison, perte de temps, de momemtun, de patience et souvent du bon peloton.
    Le seul et unique désavantage que je vois aux boyaux après une crevaison est d’avoir à descendre plusieurs kilomètres dans un col avec un boyau réinstallé sur de la vieille colle et la crainte de déjanter, surtout le descente du Glandon.
    À mon avis aucune hésitation, le plaisir avant tout de rouler sur du matériel top niveau, les BORA, à moins que tu joues pour la victoire.
    Pour la qualité de la route, je roule au Québec et les Bora et les lightweight résistent très bien au mauvais état de nos routes. Celle de la France même si pas parfaite sont réellement mieux que les notres.

    BORA BORA BORA !!!!!

  6. alain

    Pour les patins de frein ,le top c est les Zipp,pluie ,temps sec ca freine parfaitement ,oublie les swisstop jaune.

  7. Mecano

     » pour les pratiquants que nous sommes, avec une limite à nos budgets  »

    Quand même ; limite de budget avec un choix entre les Bora et Shamal ! Je rigole.

    Bonne marmotte.

  8. Dan Simard

    Puisque tu fais la Marmotte pour t’amuser, prends les roues qui te procurent le plus de plaisir.

    Comme mentionné ci-dessus, Bora derrière (avec boyau Continental Gatorskin neuf). Shamal à l’avant te donnerait un meilleur freinage. Si tu crèves, Martin sera là pour te passer une roue 🙂

  9. gino

    J’opterais sans doute pour la fiabilité et la paix d’esprit. Tu as tellement plus à perdre qu’à gagner en prenant tes Bora. Je ne m’imagine vraiment pas faire une descente de col avec des roues dont le freinage deviendrait plutôt sous-optimal en cas de pluie.

  10. Yannick

    Salut
    pour avoir des Fulcrum R0 : proche de tes Shamal
    je prendrais les roues alu pour la fiabilité et le risque de galeres moindres si mauvais temps
    Je n’ai jamais essayé de Bora ( a mon regret car elle sont superbe) mais je pense que le gain esperé rapport aux SHAMAL est + psychologique que réel (du moins en montagne)
    tchao et bonne Marmotte

  11. Louis

    Pour m’avoir faite prendre dans la descente du col de Vars avec de bonnes rafales de vent alors que j’avais des Spinergy Stealth qui ne sont pourtant profilé que de 35mm, je te conseille de ne pas risqué de perdre tout le plaisir qu’offre les descentes de la Marmotte. J’ai perdu quelques minutes dans la descente du col de Vars par rapport à un ami (M. Savaria) alors qu’elle ne fait même pas vingt kilomètres alors imagine sur la Marmotte… La galère!

  12. Batrick P

    Effectivement, chacun ses limites de budget.
    On fait d’ailleurs parfois preuve d’un grand snobisme à afficher des limites très inférieures à celles qu’on subit, ou s’impose…

    Sauf à disposer d’une assistance, interdite sur la Marmotte mais ne comptons pas sur Sport Communication pour l’appliquer en quoi que ce soit, la mode est plus à désigner un papier jeté (ce que je ne fait jamais, et depuis 30 ans que je roule) qu’une voiture gazant sur 172 bornes de montagnes, sauf donc, il ne parait pas très conséquent de partir avec des boyaux.

  13. bikelarue

    Moi je suis certain que LFR utilisera les Bora, beau temps mauvais temps.

    La classe avant tout.

    Pas facile la vie des gens riches…

  14. plasthmatic

    Laurent, si le choix s’élargit (mais alors il faut que le budget le fasse aussi), personnellement, je mettrais une paire de Campagnolo Neutron Ultra. Sans me poser aucune question. Polyvalentes, suffisamment légères, fiables, agréables, simples, parfaitement adaptées à la montagne.
    S’il te reste quelques 600 € dont tu ne saurais que faire …

  15. delirium89

    Putain quand vous faites du velo vous c’est le vrai salon de l’auto de Geneve. Je fais la marmotte depuis sa creation en 1982 je crois j’ai du en faire 14 depuis 1986 j’ai toujours le meme vélo façon Laurent Fignon sans me poser de questions sur les roues ou les freins ça m’empeche pas de bander dans l’alpes et les coursiers comme vous me font rire. S’il vous plait arreter. C’est bizarre je vous sens tout pret de l’EPO

  16. delirium89, je suis assez en phase avec toi. Mais c’est comme faire lyon paris en Twingo ou lyon paris en Safrane. Dans les deux cas tu arriveras a destination. Mais dans un des deux cas tu auras pris beaucoup plus de plaisir (moins de fatigue, moins de bruit, moins de secousse, plus de place etc etc)
    En vélo c’est un peu pareil avec du matériel récent.

  17. GBeaulieu

    Pour ma part quand ta les moyens de te payer des roues en carbone profilées. Y’en a pas de limite dans ton budget 🙂

  18. Batrick P

    Personnellement, mon budget vélo a depuis mes lointains débuts suivi la tendance inverse de ma condition physique, parvenant jusqu’ici plus ou moins à compenser sa dégradation.
    Délirium, à défaut de l’EPO, ce serait bien idiot de mettre ma santé en danger, je vais devoir franchir de nouveaux paliers budgétaires pour affronter les affronts du temps, avec un moteur dans le pédalier façon Grubber Assist, petit pour commencer. C’est vrai, quoi, tant qu’à tricher, pourquoi forcer le moteur de son organisme quand on peut en ajouter un sur le matériel?
    Plasthmatic, j’ai bien la conviction que des palmarès entiers, des fortunes séculaires, sont fondées sur la triche sans que jamais celle-ci soit démasquée. Il y a d’ailleurs une constante dans le comportement des truands, petits à grands et même très grands: le rachat de sa virginité, ou entrisme. Les Fondations ont de l’avenir, je dirais même que leur nombre et leur puissance sont une mesure directe de la pourriture d’une société.

  19. martin

    Quel est l’objectif ?
    Finir le plus haut possible dans le classement ou terminer l’épreuve ?

    Performer = risque plus grand = BORA
    Terminer l’épreuve = à peu près pas de risque = SHAMAL

    Traverser l’atlantique pour ne pas contreperformer ou pour performer ?

    Bonne réflexion et d’ici là, lâche pas !

  20. plasthmatic

    Eh Delirium, t’es pas bien agréable soudanement là. Quelqu’un pose une question, d’autres proposent une réponse. On va pas causer chiffon à une question posée sur des roues tout de même ?
    Le plus désagréable, c’est les conclusions que tirent sur notre manière de pratiquer à tous.
    Alors, puisque tu sais tout sur moi, notamment, je vais t’éclairer un peu : une seule paire de roues (en l’occurence les Neutrons, difficile de faire dans du plus classique), un seul vélo, valeur 3500 €, un compteur Sigma quatre fonctions, valeur 18 €. Du textile quand il y a nécessité, cassette, chaîne, pneus et patins de freins pareil.
    Quant à ma proximité avec l’EPO, là, tu ne penses certainement pas si bien dire : je prends des trucs quotidiennement. Tiens, j’ai même en octobre dernier opté pour un élargissement artificiel de mes voies aériennes supérieures, je me suis payé un double loft ethmoïdal. La chirurgie, c’est pratique. Et je recommencerai.
    En revanche, pour la question de te faire rire, c’est bien étonnant, pas tellement un comique ?

    Alors, continue de bien bander dans le Galibier, personnellement, je préfère y pédaler, et y flotter aussi pas mal.
    Tiens, à mon tour de poser une question matérielle, façon salon de Genève : tes cuissards, est-ce que tu as repéré une marque qui offre une élasticité particulièrement adaptée aux contraintes que tu leur fait subir sur le devant, ou bien toutes se valent ?
    Des fois que ça m’arrive.

  21. plasthmatic

    « soudainement », avec un i c’est mieux

    « conclusions que tu tires », avec le pronom sujet et le s au bout, c’est pas plus mal

    « que tu leur fais subir », avec un s plutôt qu’un t, c’est ma foi plus réglementaire

  22. Cilistaeuskadi

    Bora, Pit Stop en préventif 2 carouches de co2…et c’est parti pour le show.
    Bonne Marmotte à se voir peut-être. 😉

  23. delirium89

    plasthmatic
    les règles de l’orthographe en fait on s’en fiche un peu beaucoup c’est pas ça qui fait la richesse de l’homme. Tu detailles tout au premier degrés bander n’est pas symonymes de errection, je sais faire la part des choses merci Avec mon bon vieux vélo j’ai autant de plaisir que tous ici sans me poser de questions. J’ai tout fait à plusieurs reprises, Marmotte, BRA; paris roubaix ; Milan sanRémo, Fleche Wallone; Les Vosges, Les Pyréennées, la chaine des puys,paris brest,paris camembert,paris dieppe,toutes les classiques de la vallée de chevreuse et Longchamps trois fois par semaine, la Franck Pineau, sans compter mes vacances dans les alples, dans l’arriere pays niçois, dans les vosges et le massif central et en andalousie Bref comme tous, je roule beaucoup et j’aime ça. J’emets juste un sentiment quand les gens s’eppenchent sur un sujet qui n’est pas le miens. En deux mots le matos je m’en fout.

  24. plasthmatic

    Alors Delirium, on a au moins ce point commun : ta conclusion … Paradoxe … Je sais juste entendre une question. Rester ouvert à l’autre, ça s’appelle.
    Et puis, quand une discussion à laquelle je ne suis pas contraint de prendre part me déplaît, je n’interviens pas pour en dénigrer le sujet, donc les acteurs ; ça, c’est une différence qu’on a. Est-ce que tu mesures que dire à des gars que tu ne connais pas qu’ils te font rigoler, mieux, qu’ils sont proches de l’EPO, ça sent très fort l’insulte ? J’en suis pas certain.

    Pour tes érections spirituelles, il y a des chances pour que j’ai lu le bon degré, et choisi l’autre … Apparemment, tu n’as pas lu le mien …

    Est enfin, conçernant l’ortografe, tu a bien réson, mes ces pa parce que ça ne fais pa de bons hu-main que ça sert à rien. Rassure-toi, ce sont mes erreures que je corige, pas celles-là des otre.

  25. plasthmatic

    Laurent, tu as choisi ?

  26. Batrick P

    Et bien… oui, je suis d’accord avec toi, il n’a pas raison, comme tu le prouves avec ta caricature de phrases, très pénible à lire.
    Signé d’un qui se permet même (parfois) de corriger celles des autres, et qui ne se fout pas du matériel.

  27. pierre lacoste

    Laurent,
    Le seul ennui avec la roue boyau, c’est que lorsqu’on doit remplacer un boyau en bordure de route, seul le fond de colle résiduelle reste pour fixer le boyau de secours. Seul, à l’entraînement (je suis presque toujours sur boyaux), pas de problème, c’est pas plus long à changer qu’un pneu et il suffit de se rappeller qu’on roule sur un boyau à demi-décollé et rouler en conséquence. En course, on change de roue et basta. Dans le cas Marmotte, par contre, c’est tout autre: il n’y a pas de dépannage neutre, que je sache, et il y a des cols à descendre et là, vaut mieux savoir que les pneumatiques vont tenir, sinon bye-bye le classement et exit le plaisir. Inconditionnel du boyau (et des roues carbone) dans la plupart des circonstances, ici, je conseil plutôt le pneu. C’est une question de sécurité.
    Tu connais le camp Centrifuge, j’y roule surtout sur pneu pour la même raison.
    Qouiqu’il en soit, bonne Marmotte

  28. noirvélo

    Je voulais juste dire à DELIRIUM 89 (et à tous les autres), que j’ai une paire de CAMPA NEUTRON ULTRA, que je mesure 1.72 pour 62 kg, que je pousse maxi du 48×13 et qu’en 3 mois, j’ai cassé 3 rayons,les roues ayant 2 ans et roulant avec, 6 mois par an, je suis évidemment déçu et compte changer pour des EASTON EA 90 SLX; qu’en pensez-vous, chers passionnés ?
    Pour cet hiver, je me monte des roues à boyaux,jantes AMBROSIO CHRONO 28T, moyeux TUNE, rayons DT SWISS… Pour celles là, j’en suis pratiquement sûr et je me réjouis d’avance! bien à vous, bonne route!

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