Peter Sagan a décroché 4 victoires en autant d’étapes. En bref, il a tout raflé jusqu’à présent sur le Tour de Californie.
Un festival Sagan. Du Sagan partout, partout, partout.
Je ne me rappelle pas pareille domination sur une seule course. Sa pointe de vitesse le sert bien sûr, mais il y a aussi la fatigue, y compris nerveuse, le poids de la course, la pression, etc. Et je vous rappelle que les autres ne sont pas des manches: Boonen, Haussler, Kittel, McEwen, Rodriguez, et j’en passe.
On va encore entendre parler de ce Peter Sagan, c’est moi qui vous le dit. Le nouveau Sean Kelly peut-être? Chose certaine, j’aime ce type qui aime faire du vélo et pour qui chaque course est un objectif en soi. Bravo!
Zenou
Jimmy Casper au tour d’Allemagne 1999.
Cipollini au tour de France 1999, tour d’Italie 2002.
Cavendish sur différents tour de France
Batrick P
A mon sens, domination sur la course sont des termes (pour le moment) impropres dans le cas présent. Car l’essentiel restera toujours le classement général. Il n’empêche, le gaillard est impressionnant.
Le très gros truc dans le genre, contre-la-montre et surtout victoire au général inclus, c’est Freddy Maertens à la Vuelta 1977: 13 étapes! Il gagna ensuite 7 des 10 premières étapes du Giro quand, maillot rose sur les épaules, survint la chute de Mugello, l’accrochage avec Rik Van Linden se soldant par une fracture du poignet qui ne guérit jamais complètement et marqua le début de la déchéance d’un surdoué surchargé.
marten
François Faber dans un Tour avant la première guerre mondiale.
Batrick P
Tu vas chercher loin! Un peu moins, on doit trouver Binda au Giro…
G.Lambert
Alexandre Cloutier aux Lachine en 2001 – gagnant des 4 premières étapes.
p'tit lucien
Tom Boonen à un Tour du Qatar il y a quelques années (2005 ou 2006 ?)
schwartz patrick
Moi, j’aime bien sa foi, son éternel enthousiasme à chercher des victoires; bien sûr, il lui manque une ou deux classiques, mais des places, il sait les prendre,avec ses qualités propres et surtout son culot,une sorte d’impertinence « le diable qui sort de sa boîte » !!! rien à voir avec les Schleck! Frank qui pleurniche parce gêné par Van de velde et Rasmussen , son altesse perd du temps!, il n’a qu’à faire la course en tête au lieu de ratonner, de sucer les roues, bien protégé par ses équipiers, attendant une ou deux étapes de montagne pour faire la différence et gagner sans gloire; comme je dis toujours, ils sont surpayés et surmédiatisés mais ne font pas la course et encore moins le spectacle comme Gilbert, Boonen,Voeckler ou Chavanel