Nouvelles du week-end

Depuis Paris ouil fait très chaud, les nouvelles du week-end notamment lues dans l’Equipe:

1 – Confirmation de la perf de l’US Postal sur le Tour samedi dans la 1ere étape de la Vuelta. On se montre impressionné devant la puissance du collectif de l’équipe américaine dans ce clm par équipe. C’est Bruyneel qui a décidé de laisser Landis franchir le premier la ligne et ainsi revêtir le premier « amarillo » de cette Vuelta, montrant qu’il ne tenait pas rigueur de la décision du coureur de partir chez Phonak l’an prochain. Les grands perdants sont les coureurs d’Euskaltel, bons derniers à 2min27, suggérant que la copie doit être sérieusement revue pour l’an prochain.. Zubeldia ? Il est déjà out!

2 – Valverde (les Kelme ont limité les dégâts samedi) pourrait se retrouver en 2005 chez Cofidis, mais la lutte sera chaude avec notamment Rabobank. Ces deux équipes se cherchent désespérement, et depuis longtemps, un leader pour les grands tours… Par ailleurs, Cofidis a signé le jeune Belge Kevin Van Impe, neveu de Lucien. Après les fils de Stephen Roche et de Gilbert Duclos-Lassalle, voici donc un autre rejeton à surveiller…

3 -Sebastien Chavanel atomise sur le Tour de l’avenir. Ca fait plaisir pour le cyclisme français qui détient là un futur excellent coureur pro, un peu comme son frère d’ailleurs. Abandon sur chute de Thomas Dekker, c’est vraiment dommage car ce coureur aurait pu aller très loin sur ce Tour. Du coup, c’est Veloso qui porte le maillot de leader, un coureur de l’équipe belge Relax-Bodisol. Lovkvist est actuellement 4e du général…

4 – Veloptimum rapporte un « débat d’idées » paru dans le Journal de Montréal. S’il est intéressant de lire les opinions de certains, on ne peut s’empêcher de dire qu’il ne s’agit toutefois pas d’un débat d’idée mais plutôt d’un déballage d’opinions personnelles. Les opinions du coloré Léopold Lauzon, qui n’en est pas à ses premières armes en terme de contreverses, font carrément rire. L’immaturité du personnage est évidente lorsque celui-ci déclare « On n’a pas une cenne pour investir en éducation et dans les infrastructures routières, pis on finance du bobsleigh à quatre… Moi, ça me met en criss!« . Et demain, tout de go, on surprendra M. Lauzon à défendre l’art ou la musique… Nous pensons qu’il faut se méfier de tels raisonnements qui n’aboutissent, au fond, nulle part.

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