Tous les jours, la passion du cyclisme

 

Marco Pantani (1970-2004)


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24 Commentaires

  1. alain39

    Que dire si ce n’est que Pantani est un enfant du dopage et qu’il a fini par en mourir.
    je sais que Laurent porte une certaine affection pour Pantani et pour ma part je suis plus réservé car en fait il a été un tricheur.
    Certes on ne tire pas sur les ambulances mais de là à le vénérer et ou lui donner une absolution il y a un pas que je n’arrive pas à franchir.
    Ses envôlées reflètent la puissance du dopage et non pas seulement ses simples facultés physiques.
    cela peut paraitre intransigeant mais je pense à tous les coureurs qui ont été floués et donc je ne peux me résoudre à l’encenser ni à m’émerveiller devant les vidéos ventant ses exploits.
    Un peu comme ses grands patrons du CAC 40 qui ont augmenté leurs revenus de plus de 30% alors que le reste du peuple voit son pouvoir d’achat se réduire.
    Loin de moi l’idée de renier leurs qualités mais quand même je trouve ça indécent et injuste.
    Pour tous ces champions de la seringue je partage cette analyse à savoir que quelque fût leur destin ils restent des tricheurs qui ont poussé leur soif de reconnaissance et d’argent à l’extrème limite et ce au péril de leur santé.
    Si ils n’étaient pas starisés ils serait bien plus volontier traités d’idiots.
    C’est fou comme on peut accorder sa mensuétude à des idôles alors que pour le simple des quidams nous faisons montre d’une plus grande rigueur.
    Un peu comme sur nos routes où on sanctionne aveuglément le moindre non respect de la loi alors que les pires criminels eux se voient octroyer des remises de peine.
    Avez-vous déjà entendu quelqu’un militer pour que certains automobilistes aient des remises de peine. Les bien pensants crieraient au scandale alors que tous les jours nombre de criminels quittent nos prisons en ayant eu une remise de peine pour bonne conduite.
    Idem pour Pantani pourquoi lui accorder cette remise de peine alors qu’il a triché et donc volé son palmarès. Certes je suis très attristé de sa mort et loin de moi l’idée que l’on puisse s’en réjouir mais de là à venter ses mérites. c’est indécent.
    Et puis avec cette génération se sont envolés nos rêves d’un sport porteur de valeurs, d’un message d’espoir, de solidarité, de fraternité, de noblesse et d’aventure humaine.
    Ciao Marco et je souhaite que là où tu es tu as trouvé la sérénité qui sur terre te faisait tant défaut.

  2. thierry mtl

    http://inrng.com/
    les Wampas chante Pantani : Rimini

  3. nikkos

    @laurent : tu chercherais alain39 que tu ne pourrais pas t’y prendre autrement 😉

  4. alain39

    Laurent ne me cherche pas et je respecte son point de vue.
    De toute façon nous avons tous été dupés par les années 90-2000 et quelque part dans cette confusion nous avons chacun retrouvé de référentiels.
    Il reste que le coup de pédale de pantani ses attaques champagne ne pouvaient nous laisser de marbre.
    Alors pour Laurent Pantani est son référentiel et puis entre nous il était bien plus attachant qu’Armstrong.
    Il incarnait quelque chose en plus du champion ne serait-ce que par son physique.
    De toute façon sa mort prématurée en fait un champion à part et sans polémiquer sur le personnage il a marqué son époque. Dommage il est arrivé dans une mauvaise époque.
    Et puis je dois avouer que j’avais apprécié sa victoire en 98.

  5. schwartz patrick

    à alain 39 et à Laurent

    le premier post d’alain, très bien écrit, le 2e déjà
    plus abstrait.
    Je connais l’admiration de Laurent pour Pantani,mais
    étant toujours franc de nature et très mauvais démago, j’ai toujours eu du mépris pour ce coureur qui est un des symboles du dopage et qui a salit ce sport en manipulant nombre de naîfs,moi y compris,quoique sa montée phénoménale de l’Alpe d’Huez je n’y ai jamais cru après la série de cols précédents le final ; il l’a fait en toute conscience, a triché, menti, et sa disparition ne m’a inspiré aucune pitié; il a fait ses choix .point.

  6. Cyclick

    J’abonde moi aussi dans le sens d’alain39, moi aussi je voyais à l’époque un grand champion, mais nous savons tous, aujourd’hui, qu’il se dopait dans les annes ’90 pour augmenter ses performances sportives, chose que nous ne savions pas à l’époque nous pauvre public.

    D’accord, c’est un beau clip, cette trame sonore à la Enya, ces envolées spectaculaires en montagne, cette vitesse fulgurante à laquelle il grimpait par moment, mais ca serait encore plus beau en sachant qu’il avait réalisé tout cela à l’eau claire, non?

    Désolé Laurent.

  7. Vincent C

    Ah bien, moi je suis pas d’accord avec Alain.

    Que pensez-vous de Merckx alors? Il n’a jamais été lié au dopage mais il a tout raflé, pire qu’Armstrong.

    Fignon n’était pas lié au dopage aussi, jusqu’à ce qu’il avoue sur son lit de mort.

    Des grands champion c’est des grands champions drogué ou pas. La seule chose qui les différencie, c’est le panache et rien d’autre. Armstong = 0 panache, Contador = 0 panache, Schleck -1000 panache, Pantani avait du panache. Ceux qui ont la passion du vélo, sait de quoi je parle, le reste vous intellectualisez quelque chose de viscéral.

    Moi j’me dis si on ne fait pas abstraction de la drogue dans le cyclisme de temps en temps, on doit trouver ça ben « platte ». Quand tu regardes un classement du Tour comme celui de 2005 où le Top 10 est relié au dopage et qu’on trouve le 1er « propre » 20ème à 15 minutes… aussi bien laisser tout tomber. Mais non c’est la passion du cyclisme qui nous ramène et des attaques comme celles de Pantani qui fait que ce sport est si beau.

  8. nikkos

    @alain39 : c’était juste un clin d’œil 🙂

  9. schwartz patrick

    Condamner Contador et admirer (relativement) Pantani,il y a problème quelque part; faut-il retrouver
    Contador suicidé dans une sordide chambre d’hôtel,seul et loin de tout pour s’émouvoir dans la compréhension la compassion,le pardon …
    Et puis m…e !,on a retrouvé une quantité infime de
    clenbutérol chez Contador alors qu’il a été prouvé que
    Pantani était chargé comme une chaudière … Dans la vidéo,tout juste si ses démarrages n’arrachent pas le
    bitume ,c’en est indécent !!! j’ai du mal avec les
    champions du dopage tragiquement disparus… Et Ricco
    ,personne ne le défend ou ne l’encense ?

  10. schwartz patrick

    Désolé Laurent, mais le cas « Pantani » ne passe pas…
    L’ensemble de tes posts est très cohérent, mais là,
    non, j’y arrive pas !

  11. alain39

    Le cyclisme se professionnalise et le romantisme disparait.
    Nous cherchons à le retrouver quelque part et ce au risque d’être déçu.
    Lorsque l’on compare la domination des champions avant l’ère du dopage sanguin on constate que leur suprématie n’était pas aussi bien établie que celle de Armstrong, Contador, Indurain et autres.
    Il leur arrivait d’être dominés sur des étapes mais à terme leur supériorité finissait par l’emporter. Si on prend Armstrong ou Indurain ils étaient à même de reproduire le même scénario année après année et ce sans montrer la moindre faiblesse.
    Merckx qui reste le plus grand a connu des revers notamment en 71 et 73 sur le tdf. Idem pour Anquetil sur le tdf 64. Hinault qui bien que dominateur ne gagnait pas toutes les étapes de montagne. Sur certaines il gérait et attendait le jour où il était mieux que les autres pour asseoir définitivement sa victoire comme au tdf 78.
    Depuis Indurain on a vu débouler des vainqueurs qui n’ont pas le moindre jour de moins bien. S’ils ne gagnent pas c’est qu’ils ont laissé gagner.
    Alors dans ce monde asceptisé on essaye de trouver des héros qui sont aussi des produits du dopage.
    Pour Laurent c’est Pantani, pour d’autres Jalabert, Virenque etc…
    Mais voilà c’est à chaque fois un leurre mais c’est humain.
    car étant des passionnés il nous exprimer cette personnalisation du sport pour le vivre plus intensémment.

  12. p'tit lucien

    Vincent C, je te trouve trop dur.
    Contador, c’est quand même de la classe pure quand il s’envole dans les cols et je crois même que, à dose égale d’EPO, il tiendrait en respect Pantani sans trop de mal.
    Schleck: ok, c’est un gars un peu terne à force d’être gentil et naïf, mais quand même, son enchaînement Izoard-Lautaret-Galibier en juillet dernier, qu’est-ce que c’est si ce n’est pas du panache. Et du grand ! tout comme la résistance d’Evans derrière!

  13. Vincent C

    @p’tit Lucien

    D’acc pour Schleck l’an passé, c’était une très belle étape, avec du panache. Mais je préfère 100 fois un Gilbert, un Pantani, un Voekler qui se fendent la gueule et qui attaque qu’un diesel comme Evans ou des suceux de roues.

    On parle aussi rarement de Indurain, qui pour ma part m’a fait aimer que dis-je adorer le cyclisme. Les belles années de l’EPO! C’est ma génération, j’avais 15-16 ans quand Indurain gagnait et quand un Bruynel suçait sa roue incapable de prendre un relais.
    (http://www.youtube.com/watch?v=6eItUnGSK2Q)
    Alors Pantani fait parti du lot de mes préférés, ça c’est certain et le comparer à Contador m’insulte un peu, parce que Pantani a une place dans mon coeur mais pas Contador!

  14. plasthmatic

    P’tit Lucien, je te rejoins, si tu le permets.
    Tu fais partie de ceux qui voient et observent aussi ce qui se passe derrière … Evans, ce jour-là, il a enclenché sous le Lautaret, pour ne plus débrancher jusqu’au Galibier. Disons donc environ 2 à 3 km ajoutés aux 8,5 km du versant sud du Galibier, pas si dur … sauf que : c’était vent de face, pas un petit vent. Quand il souffle comme il soufflait, c’est pour ainsi dire tout du long, en dehors de quelques anses, et ça la change, cette ascension, et c’est pas une affaire de nuances.
    Tu as sûrement vu encore juste un cran derrière : ça grimaçait dur, rien que pour suivre abrités … Si ce jour-là Evans n’a pas pris les choses en main, alors je ne comprends rien au vélo, et pourquoi pas d’ailleurs. Alors bien d’accord avec toi P’tit Lucien, y a pas souvent l’occasion de se mettre debout dans le fauteuil, mais ils ne vont pas nous faire des entrechats quand même ?
    Accomplir des efforts terriblement douloureux non pour briller devant, mais juste limiter les écarts, pour pas se coucher quoi, c’est pas moins beau que voler devant porté par les hourras de la foule, poussé par le sentiment passager de sa toute puissance (que je conçois). Efforts ingrats qu’ils disent.
    Et puis, vu qu’il n’y a pas que le Tour : tiens, du côté de l’Italie, la Tirreno-Adriatico par exemple : il y a souvent une guerre terrible dans l’ultime bosse, soit d’arrivée, soit juste avant. J’ai le souvenir qu’Evans n’y a jamais laissé sa part au chien … pour parfois même l’emporter d’ailleurs.

    Pour Bruynel, qui était un coureur talentueux, il pouvait certainement relayer Indurain ce jour-là. Il pouvait, du point de vue moteur. Sauf qu’il était équipier d’un certain Alex Zülle, adversaire essentiel du Navarrais : il était viré le lendemain … Les jambes, il les avait, forcément, vu le temps que ça a duré. Il a pédalé ce jour-là dans un fauteuil. Et le bon Miguel a trouvé cela tout à fait normal (ça l’était), pas une seule parole ambiguë.

  15. p'tit lucien

    Bon, et pour être un tout petit peu chauvin, hé hé, j’ajouterai que Maxime Monfort a fait un travail formidable ce jour-là et donc a pas mal contribué au panache de Schleck pour aider celui-ci face au vent dans la montée du Lautaret.

    En passant, le Liège-Batogne-Liège 2009 d’Andy était aussi une belle démonstration de panache.
    Bon, j’en reste là, et bien sûr je respecte la vénération de plusieurs vis-à-vis de Pantani. Mais pour moi, désolé les gars pour ma subjectivité, le plus grand grimpeur de tous les temps est et reste le trop méconnu Lucien Van Impe (question de génération peut-être).

  16. alain39

    Van Impe un de mes coureurs fétiches. Le grimpeur le plus complet avec Delgado.
    Une longue carrière qui l’a vu traverser les années 70 et premère moitié 80.
    Un grimpeur long qui malheureusement n’avait pas un sens inné de la course.
    Il lui a fallu Guimard pour courir pour le GC.
    En 83 sa

  17. A.Gagnon

    Question de génération? Probablement, mais moi j’irais plutôt chercher les Binda, les gaul ou les Herrera si on devais parler du meilleur grimpeur. Binda était si fort qu’il avait été payé pour ne PAS participer au giro et ne pas tuer le suspense. L’organisateur lui avait versé l’équivalent des primes de victoire de chacune des étapes et du classement général ainsi que diverses autres primes… On disait de lui qu’il puvait grimper un col avec un verre d’eau en équilibre sur son front… une autre époque, une autre classe. Dur de comparer un coureur des année 2000, époque ou ce qui autrefois aurait considéré comme un suceur de roue est aujourd’hui un coureur offensif.

  18. alain39

    oups,
    En 83 sans une chute en début de tdf il pouvait encore prétendre à la victoire.
    Il fait partie de la race des grands grimpeurs au niveau des Herrera, Delgado, Bahamontès et Gaul.
    Et puis c’était un remarquable rouleur qui perdait pas trop de temps sur les meilelurs.
    il a couru à une époque ou les chronos étaient bien plus nombreux et bien plus longs ce qui ne l’avantageais pas.
    Enfin une longétivité durant laquelle il a fait montre des mêmes qualités.
    Van Impe quel beau coureur.
    Concernant Schleck son étape du Galibier est pleine de panache tout comme la défense de Evans qui en sus a fait montre d’une grande science de la course. Il a produit son effort au bon moment.
    Sur ce coup je mets 10 à Schleck pour son panache et 10 à Evans pour sa parfaite science.
    Schleck a été un peu tendre mais il n’avait pas le choix et a donc fait face dignement à ses responsabilités.
    Mais voilà tout jouer sur une étape est un gros pari et il a perdu. Lui et son frère ne savent pas dynamiter une course et surtout la rendre imprévisible. Dommage car ils ont leur carte à jouer. Mais ils courent trop de façon convenue et donc ne savent pas surprendre leurs adversaires.
    Pour Bruyneel il n’a jamais été un grand champion il suffit de parcourir son palmarès. Et puis on parle de l’étape de Liège dans le tdf 95 où il protégeait Zulle et Jalabert. Pas une grosse étape de montagne.

  19. schwartz patrick

    Dans l’ensemble,je suis assez déçu par les réponses;le
    dopage qui fait partie intégrante de ce blogg à ,disons
    60%, est quand même mis à l’écart lorsque je vois certains d’entre vous s’enflammer devant les performances incroyables donc forcément suspectes de
    nombreux coureurs à palmarès et panaches …Même Evans
    qui est le turbo diesel type,laborieux mais talentueux et néanmoins modeste qui calcule pendant 3 semaines ,ne
    ralie pas tous les suffrages; le Tour est une épreuve
    d’endurance et les exploits successifs d’un seul coureur me laissent toujours dubitatifs; les anciens aussi,Merckx y compris ; en ce qui me concerne je n’arrive plus à être « dépassé » et vraiment enthousiaste devant l’évenement; mon romantisme de départ me semble être,peu à peu émoussé et remplacé par un pragmatisme las et sans illusions aucunes .Mais j’aime le vélo et serais devant mon poste pour les classiques d’avril,souriant mais sans ce stress positif,naif ,inflamatoire et illusoire …

  20. plasthmatic

    Ni flamme ni enthousiasme : on peut remarquer de terribles efforts indépendamment de la question du « mode de préparation ».

  21. fred

    el elephantino
    5.56 a ullrich le 28 07 1998 dans l etape des deux alpes
    les deux etaint chargé certes mais respect quand même.
    et faut arreter de croire que les anciens roulaient a l’eau claire.

  22. PANTARULES

    PANTANI chargé, soit..

    Cela dit, et dès qu’il est monté sur un vélo, il s’est toujours montré le plus fort dans les côtes, c’est un fait….
    Et ce, bien avant la généralisation de l’EPO..
    J’ai eu la chance de voir ses numéros dans le GIRO BABY de 90, et l’EPO n’était en cette année réservée qu’aux GIOVANETTI et BUGNO….

    On oublie souvent que PANTANI n’a au que 2 ou 3 belles années (soit 94,98 et 99 …. ).

    S’il n’avait pas eu ses accidents ( 95,97 ) et s’il avait couru aussi régulièrement que des VAN IMPE, HERRER

  23. PANTARULES

    OUPS….

    S’il avait couru ausssi régulièrement que les VAN IMPE, VIRENQUE ou HERRERA, il aurait gagné 20 étapes du TOur et 25 du GIRO…

    Le Tour 96 aurait été pour lui, ainsi que les GIRI 95,96,97…..

    En terme de dopage, PANTANI n’était qu’un artisan comparé à d’autres….

    Anyway, je n’ai jamais rien vu d’aussi beau que les montées de l’ALPE 95 ( où, en 2 km, il comble 1,30 avec le Groupe de Tête et les dépose immédiatement ), de 97 ( Le démarrage perpétuel, sans se retourner, et tout le monde lâche, ULLRICH le dernier ) ou COURCHEVEL 2000….

    OROPA 99, VALICO DI SANTE CHRISTINA 94 ou FLUMSERBERG 95, c’était pas ma également…

    Bref, PANTANI esr de loin le meilleur grimpeur de tous les temps, devantg GAUL et FUENTE à mon avis…

  24. Batrick P

    « En terme de dopage, PANTANI n’était qu’un artisan comparé à d’autres ». Le fanatisme mène à fabriquer des certitudes à partir d’intuitions.

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