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Limite à 6,8kg: à quand la réforme?

Quelques articles portant sur le matos extra-light ont attiré mon attention récemment. Et notamment celui-ci où on rapporte une paire de roues à 887 grammes (FSE). Ouf!

Aujourd’hui, de nombreux cadres et fourches « de série » sont en deçà de un kilo. Je pense au Canyon Ultimate EVO, au Merida Sculptura, au Trek Emonda, au Fuji SL, et plusieurs autres. Usage exclusif bien sûr, pour cyclistes légers uniquement!

Bref, proposer un vélo plus léger que la limite de 6,8 kilos imposée depuis le début des années 2000 par l’UCI est chose aisée aujourd’hui.

Plusieurs articles comme celui-ci montrent que cette limite était sur le point d’être révisée en 2017.

Puis rien. Aucune nouvelle en 2018.

Difficile de comprendre ce qui se passe! Chose certaine, c’est le Word Federation of Sporting Goods Industry qui est responsable de veiller aux intérêts de l’industrie du cycle auprès de l’UCI. Cet organisme a donc beaucoup de poids dans l’éventuelle décision de l’UCI de modifier la règle actuelle.

Je pense en fait qu’il est tout à fait raisonnable de penser que les freins à disque ont freiné les changements à venir. L’industrie s’ajuste actuellement à cette nouvelle technologie, qui augmente légèrement le poids des vélos. Du coup, on a probablement préféré ne rien précipiter, afin de ne pas compromettre l’expansion de ces vélos équipés de freins à disque. Une nouvelle norme trop basse aurait pu donner ce résultat…

Rappelons que la limite a été imposée pour des raisons de sécurité, l’UCI estimant à l’époque qu’en deçà de 6,8 kilos, un vélo n’était pas sécuritaire. Si on change cette limite, laquelle adopter? 6,5 kilos? 6,0 kilos? Aucune limite? Cette dernière solution pourrait amener à des abus des coureurs voulant se donner un avantage face à la concurrence, quitte à une prise de risque maximum.

L’UCI pourrait baser sa limite sur certaines bases. Par exemple, en bas d’un kilo pour l’ensemble cadre-fourche, ça n’apparait pas très raisonnable, surtout chez les pros qui ont une puissance, notamment lors des sprints et sur quelques secondes, très conséquente. Les compagnies proposant de tels ensembles imposent souvent une limite de poids au cycliste voulant rouler sur ce matériel.

Idem pour les roues: en bas de 1200 grammes la paire, on voit mal comment la sécurité n’est pas compromise.

Des freins carbone? Pas sûr non plus que c’est une bonne idée!

Bref, si on compte 1200 grammes pour l’ensemble cadre-fourche, 1200 grammes pour la paire de roues (au mieux), 2000 grammes pour le groupe complet, 500 grammes pour les boyaux/pneus, 1000 grammes pour les périphériques (potence, guidon, guideline, selle, tige de selle, visserie, porte-bidons, déblocages rapides) et 200 grammes pour les pédales, on arrive à 6,1 kilos.

En se donnant un peu de marge (notamment pour des capteurs de puissance, capteurs dont le poids a beaucoup diminué chez certains fabricants au cours des dernières années), une norme autorisant des vélos en World Tour d’un poids situé entre 6,2 et 6,4 kilos m’apparait aujourd’hui réaliste.

À quand la réforme promise? Je voudrais bien le savoir!

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26 Commentaires

  1. mica

    Pour ma part, j’ estime qu’ il ne devrait pas exister la moindre limitation. Aprés tout, les constructeurs, techniciens, DS, coureurs sont largement assez grands pour choisir du matériel adapté et sécuritaire.Je pense qu’ a ce niveau là on devrait laisser faire et que les matériaux « modernes » permettent de construire trés légers et trés solide. Maintenant il est certain que.l’ on ne choisira pas le même matériel pour un Paris Roubaix que pour un CLM en côte.
    Par ailleurs est on certain que la régle des 6,8 Kg est tjs. respectée? Je sais bien que l’ on voit des « pesées » avant certains CLM…mais, le reste du temps…..?

    • Réré Leredge

      Voire une chute de vélo au tour des flandres, puis un cycliste dans un groupe de 10 coureurs au sol revenir avec un cadre exploser, c est aussi une image du danger que vive ces coureurs professionnels.

  2. Vincent L.

    Je pense qu’une baise du poids limite d’un vélo n’est plus un progrès et n’apportera rien de plus aux cyclistes professionnel ou de loisir. Conserver la limite des 6,8kg permettrait aux constructeurs de se concentrer sur l’amélioration des vélos et du rendement. Il est pour moi préférable d’améliorer l’aérodynamisme, la qualité du freinage, la sécurité et le rendement des vélos. Des progrès sont possibles du côté de la transmission et des changements de vitesses ou des pneumatiques. Il doit être possible d’améliorer le confort des vélos. Pourquoi ne pas abandonner l’obligation du triangle pour le cadre ou autoriser des roues plus petites ou une position plus en avant de la selle ? Le but n’est il pas de se déplacer le plus vite et le plus loin possible avec la plus faible dépense énergétique, sans utiliser une position couchée ou un carénage !

  3. mica

    Puisque, dans ces colonnes, un assidu de LFR m’ a gentiment comparé à Elise Lucet (ce qui est flatteur pour moi) je retranscris une petite phrase de celle ci:
     » Lorsque l’ information dérange, c’ est souvent qu’ elle est vraie ».

  4. Edgar Allan Poe

    D’accord avec ton post 1, Mica, avec un bémol : la course à l’équipement light, s’il n’y a pas de règles, risque d’être biaisée par les budgets des équipes. D’un autre côté, si les vélos de la SKY devaient peser 100 grammes de moins que ceux de leurs concurrents, ça ne changerait pas la face du monde cycliste. Mais on le voit déjà avec l’aérodynamisme et les tenues « Vortex » des SKY. Tout est question de fric. La recherche sur l’allègement ou l’aérodynamisme a un coût. Des équipes continentales achètent leurs vélos, c’est pourquoi certaines n’ont que du Shimano Ultegra. Et même en World Tour, par exemple, les vélos de chrono des AG2R version 2015/2016 étaient sacrément pourris, question aéro.
    Les pesées avant les chronos, c’est du cinéma. Par contre, il y a des prises de mesures sur les vélos de CLM qui ne doivent pas dépasser un certain allongement, une longueur maxi. Il me semble que les grands gabarits sont pénalisés, mais c’est un autre sujet.
    Vincent L : je suis d’accord avec toi sur les études à mener sur l’aéro, la sécurité, le freinage…mais quand même, entre un vélo à 6.8 kgs et un autre de 5 pour monter au Ventoux, mon choix est fait !
    La transmission et le rendement des pneumatiques sont très énergivores. Comme tu le dis, il existe de grosses marges de progression à ce niveau.
    Pour la position en avant sur la selle, tous les coureurs amateurs ou pro ressemblent à des crapauds sur le vélo aujourd’hui. Certains DS et ergonomes commencent à s’interroger quant à une causalité de ces positions avancées dans les chutes. Il est vrai que le poids est très mal réparti de fait, et en cas de freinage brusque, la roue arrière se bloque facilement.
    Il serait bien que les fabricants arrêtent de donner le poids des vélos sans les pédales, puisque jusqu’à preuve du contraire, la très grande majorité des cyclistes se servent de pédales pour entraîner leur engin, sauf Froome quand il fait le Ventoux, mais bon…
    J’ai eu des roues d’1 kg la paire, DT SWISS, achetées d’occas car le prix neuf est prohibitif. Pas de problème de sécurité, ni de rendement d’ailleurs. Mais les jantes se sont usées latéralement, sur la ligne de freinage. Il faut bien gagner le poids quelque part. Je précise en outre, que je pèse moins que 60 kgs..
    Par contre, j’ai des étriers de freins light. Freinage nul.
    Je pense que chacun doit voir midi à sa porte pour le poids de son vélo. Certains pros choisissent d’avoir une potence et un guidon en alu, et pas en carbone, par sécurité, sachant qu’ils ont de la marge pour atteindre les 6.8 kgs.
    Une selle à 38 grammes ? Pas de risque apparent, sauf si la selle vient à casser brutalement quand vous êtes assis en fond de selle. C’est arrivé à une connaissance, qui s’est assis sur la roue arrière à près de 50 à l’heure : 3 semaines d’hôpital. Il court maintenant dans la catégorie ténor.

  5. Edgar Allan Poe

    495€ la selle à 38 grammes, soit 13€ le gramme !
    A ce prix-là, t’as le droit d’attaquer en justice le mec qui a fait tomber ton vélo posé contre une barrière pendant que tu signais la feuille d’émargement au départ de la course!

  6. Luc Levesque

    Le problème du vélo trop léger n’est pas pour les pros, qui vont passer 2-3 vélos par saison, mais pour les amateurs. La majorité des cyclistes vont avoir un seul vélo sur une longue période, 5 à 10 années disons. A mon avis, un vélo très léger devrait se dégrader plus rapidement qu’un vélo plus conventionnel. Alors, nous exposons les cyclistes à plus de risques de bris de vélos, qui surviendra surement lors d’une randonnée. Pesonnellement, la limite de 6.8 kg devrait être maintenue….

  7. Christian

    Je serai plutôt d’avis d’augmenter le poids des vélos.

    Pourquoi faut-il maintenant des pourcentages de plus de 20% pour qu’il y ait de la course? Car les vélos sont trop légers, entre autre.

    En plus du poids, leur rendement s’est aussi grandement amélioré. N’oublions pas non plus la qualité des routes. Les routes de cols sont devenus des autoroutes ultra-roulantes.

    Si un coureur doit trainer 10kg au lieu de 6kg en haut du Tourmalet, il a besoin de plus de puissance. A ce moment, on a besoin de moins de pourcentages pour faire des différences.

    Mais on n’en prend pas le chemin visiblement, trop d’intérêts financiers sont en jeu.
    Le train de la Sky a de beaux jours devant lui.

  8. Vincent L

    Edgar Allan Poe : Après avoir monté le Ventoux il faut penser à la descente ! Si votre adversaire dispose d’un vélo de 5 kg, vous perdrez l’avantage du poids, qui est plus dans la tête que réel. Je ne sais pas s’il y a des études sérieuses sur le sujet, mais je pense qu’un gain de 500 gr sur le cycliste est plus avantageux que le gain d’1 kg sur le vélo. Le poids du vélo est porté par les roues, même sur une pente à 10%. Par contre le poids du haut du corps, est porté par les jambes, ce qui influence directement la fatigue du cycliste et sa performance dans les cols. Dans la partie haute du Ventoux, exposée aux vents, même à 10 km/h l’aérodynamisme ou la résistance à l’air de l’ensemble cycliste-machine est sans plus important que quelques centaine de grammes de moins sur le vélo. Ensuite, un allègement du vélo se fait aussi au détriment de sa rigidité ou plutôt dans la capacité du cadre à restituer la puissance exercée sur les pédales à la roue arrière (en contact avec le sol) avec le moins de dispersion (pertes) d’énergie.

  9. LaVoitureCaPue

    @ mica

    IL me parait evident que ne pas imposer de poids minimum aux vélo entrainera automatiquement une prise de risque de la part des pros et des dérives nuisant gravement à la sécurité. Je suis même sur, qu’au bout de qqs années un accident mortel réentrainerait la règle d’un poids minimum.

    @ tout le monde.

    500g de gagner sur un vélo c’est énorme. Ne croyez pas. C’est ce qui sépare le 1° du 5° au TDF. 500g c’est 0.5% de gagner a chaque relance, 0.5% à chaque col, 0.5% à chaque récup pour le lendemain… POurquoi croyez vous qu’ils sse dopent pour être encore plus maigre

    @ tout le monde 2

    Mais bon rigolons en coeur du quidam qui paye 200 euros le gramme gagner avec sa brioche, ses fesses rebondies et ses cuisses de rugbyman.

  10. mica

    EAP/ terrible l’ « accident » que tu nous décrit…une bonne dose d’ humour n’ y est certainement pas étrangére et dis nous que ce n’ est pas vrai… OUILLE… et la peau de chamois bien épaisse à cet endroit là n’ a pas « protégé »?
    a propos d’ accident, vu dans cycling neews, Adrien Costa a repris le vélo et semble bien rigoler avec sa prothése…..enfin en apparence.

  11. mica

    LVCP: c’ est vrai qu’ il vaut mieux gagner 10 Kg sur le bonhomme que 200g sur le matos, ça je l’ ai toujours dit….mais chez les pros il n’ y a souvent plus grand chose à gratter sauf Sagan, Kittel, Cavendisch….

  12. Edgar Allan Poe

    Vos analyses Vincent L. me semblent très pertinentes.
    Étant un poids mouche, je me suis toujours interrogé sur le rapport poids du cycliste/poids du vélo, à savoir, l’effort est-il le même pour un cycliste de 55 kgs qui traine un vélo de 6.8kg, d’un cycliste de 80 kgs équipé de la même monture ?
    Par contre, concernant les descentes, en ligne droite, position aérodynamique, j’ai toujours « sorti » des cyclistes plus lourds que moi, ou mon fiston, poids égal, mais beaucoup plus grand. Surface corporelle exposée au vent ? Moyeux efficients ?
    Je n’ai jamais eu l’impression que mon vélo léger, aux environs de 6.5 kgs, m’handicapait dans les descentes.

  13. En descente, si la pente est régulière, de la même manière qu’un petit caillou chute à la vitesse d’un gros caillou, un cycliste léger va rouler à la même vitesse qu’un cycliste lourd (sauf si le cycliste lourd a gonflé ses pneus à la même pression que le cycliste léger auquel cas il ira moins vite)… 😉

    Si la pente est irrégulière et notamment si il y a des replats, le cycliste lourd ira plus vite en raison de l’inertie (c’est ce même phénomène qui donne un avantage aux gros gabarits en ski dans les disciplines de vitesse)…
    Ceci dit, en pratique, le profil des routes étant assez régulier par rapport à un terrain naturel mais les routes comportant de nombreux virages, si le cycliste lourd est équipé des mêmes sections de pneu et des même freins, il sera condamné à freiner plus tôt avant un virage et sera désavantagé…

    Pour ce qui est de la position aérodynamique de descente :
    A vélo, l’on peut cacher un grand buste en se penchant vers sa potence. Par contre, à moins d’une position très acrobatique, l’on ne peut pas cacher de grandes jambes…

    Je suis convaincu que, moyennant finances, l’on peut avoir un vélo à la fois plus léger et autant rigide et donc plus performant en montée que la norme de 6,8 kg.

    Mais je milite pour une conservation du poids à 6,8 kilos et que l’on étende cette règle à tous les niveaux.

    Le virage bobo que prend le vélo est inquiétant… Ce sport devient de moins en moins accessible. Ou, plutôt, de moins en moins accessible à armes égales…

    Les vélos sont de plus en plus légers et de plus en plus chers et de moins en moins fiable.
    Une selle de 38 grammes… L’accident n’est pas étonnant et si le vélo est à l’image de la selle, il est surement sous la barre des 6 kilos.

    Mon vélo doit surement être un peu en dessous de la norme mais je déplore l’absence de contrôles du poids des vélos sur les cyclo-sportives, les courses de côtes et les courses amateurs de petit échelon car nous sommes nombreux à être sous la norme.

    Descendre sous la norme, c’est du dopage technologique…

    Chez les cyclo-sportifs et chez les cyclistes sportifs de loisir, cette forme de dopage technologique est admise au même titre que les bidons collés ou d’autres formes de tricheries (le sillage des motos dénoncé par Mica) chez les cyclistes Pro ou chez les cyclistes amateurs dans les filières d’accès vers le haut niveau…

    Pourtant, un vélo de 6,8 kilos, c’est déjà un vélo léger et agréable dans les montées…
    Nous fermons les yeux, les organisateurs de courses les ferment également…
    Et l’industrie du cycle se frotte les mains pendant que les gros gabarits cassent du carbone à tour de bras… 😉

  14. Steve

    Les cardes/composantes ultralights ne sont pas nécessairement réservés aux poids plumes…Trek Emonda SLR 640g avec une capacité de 275 livres couvert par une garantie à vie. Roues Bontrager XXX 2 1300g sans limite de poids. Et il y en sûrement d’autres.

  15. lbi

    mica, oui c’est un compliment, à ceci près qu’elise lucet ne fait pas 45 des 50 émissions hebdo de france 2 😉
    Au fait, qui peut me dire quel est le poids min atteint pour un velo taille normale?
    Vincent, comment baiser le poids limité d’un vélo?

  16. Les cardes/composantes ultralights ne sont pas nécessairement réservés aux poids plumes mais, en l’occurrence, ils sont nécessairement réservés à une classe relativement aisée.

    La garantie à vie n’est pas nécessairement la démonstration d’un produit fiable mais plutôt celle d’un produit vendu excessivement cher par rapport à sont coût de fabrication. En l’occurrence, le coût de fabrication d’un cadre haut de gamme est d’environs 500 euros pour un prix de vente de 3000 euros… La fiabilité des cadres ultra légers étant faible, il vaut mieux garantir un remplacement qui ne coûte pas grand chose que de se faire une mauvaise réputation.

    L’utilisation d’un cadre ultra léger de 640g relève d’une volonté délibérée de dopage technologique.

  17. Ah bah tient, justement un sujet auquel je m’intéressait dans un de mes article. Assez épineux effectivement.

  18. Philippe Lalonde

    200, 400 grammes de moins, qu’est-ce que ça va changer?

    Les courses vont être plus intéressantes?

    Ça va aider à l’égalité et la pérennité des équipes WT?

    On va limiter le dopage?

    On va davantage respecter les droits des coureurs pro?

    Nope.

    Faque…

  19. Dany

    (Cycliste lourd) » il sera condamné à freiner plus tôt avant un virage et sera désavantagé… »
    Mais la grande majorité des cyclistes freinent trop tôt
    et c’est là qu’on fait la différence en descente…

  20. arnold

    Dans sa conférence de présentation du Tour 2019 Christian Prudhomme a souhaité l’interdiction des capteurs de puissance

  21. Mais il n’a pas parlé de réduire le poids des vélos en échange. Vu le nombre d’ascension, 5 arrivées en montagne et 3 passages au-dessus de 2000m, cela serait une bonne option. Après tout, les freins à disque sont permis malgré les dangers inhérents en cas de chute pour les autres! Avantage aux cyclistes en montée (vélo léger) et avantage en descente (ceux avec freins à disque?)…
    PS. Le parcours 2019? Tous les grands champions du Tour n’auraient jamais autant gagné le Tour avec moins de 50 km en CLM individuel. Tout autant dommage pour les sprinteurs qui voulaient rallier Paris!

  22. tylerkay

    « à ceci près qu’elise lucet ne fait pas 45 des 50 émissions hebdo de france 2 » : oui, c’est la seule différence…

    une journaliste diplômée qui mêne des enquêtes avec un souci d’impartialité sur des sujets de fonds et un commentateur de blog qui radote en boucle ses avis personnels et enfonce des portes ouvertes, sans même se remettre en question…

    « Lorsque l’information dérange, c’est souvent qu’elle est vraie » jerry… celle-ci est plus adaptée : « Les cons ca osent tout, c’est meme à ca qu’on les reconnait »

    Tu déranges comme le tonton beauf à Noël qui ramene toujours les memes sujets lourdaux, @mica. Tu sais, celui qui « dit les choses memes si elle dérangent », et qui « ne se taira pas », surtout avec un peu d’alcool.

    LFR est une grande famille.

  23. Lbi

    Toujours autant de bienveillance machin
    Ca fait plaisir

  24. Wolber

    Elise Lucet , impartiale ç’te blague!!!

  25. LBA

    A quand l’application du règlement?
    Présomption : sans ne plus me rendre sur les courses de côte depuis des années, j’ai la conviction que pas mal de coureurs sont sous la limite réglementaire?
    Ils trichent, avec l’accord des organisateurs et des fédérations sous l’égide desquels se tiennent les épreuves.
    Ils trichent et ils dénoncent les coureurs qui trichent, par le dopage par exemple.

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