Tous les jours, la passion du cyclisme

 

L’art du light

Voici quelques moyens simples – mais pas forcément bon marché – d’alléger votre vélo en modifiant de "petites composantes" qui ne devraient pas compromettre votre sécurité. Alléger le vélo peut parfois paraître utile lorsqu’on vise une perf sur une course accidentée voire sur une cyclosportive, ne serait-ce que pour la motivation !

Déblocages rapides Carbon-Ti X-Lock Special

Du beau matos, et surtout près de 80 grammes de gagnés sur chaque déblocage rapide par rapport à Campagnolo. Au total donc, environ 150 grammes de moins sur votre vélo sans compromettre la sécurité. Environ 140$US. Pas facile à trouver cependant sur le web.

Galets de dérailleurs Token

Encore quelques grammes de gagnés par rapport au matos Campagnolo, sans compromettre l’efficacité de l’ensemble. C’est pas donné cependant, près de 50$CAN pour l’ensemble… mais dans la couleur de votre choix !

Token lock-ring pour la cassette

Comparé au lockring de presque 20 grammes pour Campagnolo, le Token ne pèse que 5 grammes !  Un petit 15 grammes de gagné facilement, pour un tarif raisonnable.

Gaines de dérailleurs et freins PLUM

120 grammes pour le kit complet, cables et gaines. Gaines en aluminium avec embouts arrondis, usinage CNC, cables sur-dimensionnés pour plus de sécurité, durabilité très longue. Très difficile à trouver cependant, du moins pour le moment. Le distributeur serait la marque Token. Si nos lecteurs peuvent nous informer sur comment se procurer ce matos, ce serait utile !

Chaine KMC

Près de 20 grammes gagnés sur une chaine Campagnolo conventionnelle. Il existe peut-être d’autres chaines plus légères encore ?

 Roue libre titane 10 vitesses Campagnolo

On sauve près de 50 grammes en passant à la cassette toute titane de chez Campagnolo. Disponible uniquement en 12-23 et 12-25 ce qui, pour passer le Galibier, peut paraitre un peu juste pour l’amateur moyen. Pas donné non plus, près de 400$US ! 

Après, on peut toujours alléger le vélo en achetant des roues ZIPP 202 à boyaux (1100 grammes), un pédalier Clavicula à près de 200 grammes de moins que le pédalier Campagnolo, voire en équipant le vélo de freins carbone Zero Gravity. Je préfère ne pas parler de tout cela, estimant que la durabilité voire pire, la sécurité de ces composantes très légères peuvent parfois être problématiques.

En terminant, rappelez-vous cependant qu’il est d’abord plus efficace et plus rentable d’alléger celui qui pédale que le vélo ! 

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26 Commentaires

  1. VANO

    Bonjour

    Vous trouverez les gaines PLUM (ilink), boutivélo
    (traès bon rapport qualité service)

    http://www.boutivelo.com/index.php?page=produits&mar=96

    Sinon pour les cassettes il y a KCNC à 151 grm

    bonne journée,

  2. VANO

    pour gagner des grammes sans trop se ruiner, il y a les cadres BEONE à 960grm en 56 pour 1200 euros.
    On peut aussi regarder toute la gamme KCNC : super rapport qualité/prix/poids exemple : Les freins KCNC à 170grm pour 230 euros.

  3. Pierre Dumais

    Ben voyons donc!

    Où cela va se terminer pour l’apesenteur d’un vélo?

    Une idée. Pourquoi ne pas aller rouler dans l’espace?

    Le coût: 35 millions $ avec Guy Laliberté.

  4. Andy Lamarre

    Complètement en accord avec Pierre, peut être le meilleur moyen d’aléger son vélo est de perdre quelques kilos en moins.

  5. Vincent

    @Andy et Pierre

    Si vous avez besoin de perdre du poids peut-être mais moi à 135lbs mouillé yé pas question que je perdre du poids alors vive le Light!!

  6. Pierre Dumais

    Bonjour Vincent

    J’en pèse 132 et demi mouillé et 133 après un bon pinot.

    Amitiés

  7. Vincent

    Prend le pas personnel Pierre! Je sais que t’es « slick » !(il entraine des cyclistes le gaillard!)

    Mais l’industrie du Light est important pour les avancées technologiques! Pour avoir des vélos léger performants et sécuritaire y faut que les compagnies osent et sortent des produits du genre!

    Et c’est pas vrai qu’un vélo lourd va te donner autant de performance que de perdre du poids : ça se compare pas!

    Les deux sont quantifiables et les deux ont des effets très distincts sur la performance!

  8. Vincent

    Tu entraines des gens n’est-ce pas? Ou je trompes!?

  9. Pierre Dumais

    Vincent

    Non.

    J’ai assez de m’entrainer et me trainer moi-même( après mon pinot).

    C’est peut-être une autre personne. Je me croyais unique

  10. plasthmatic

    C’est quoi, l’unité « lbs », ce sont des livres, donc cinq cent grammes ?

  11. francisponch

    boule à zero et rasé au couteau…deja je gagne 300 grammes au moins !!!!

  12. plasthmatic

    Alors, si google est la voie aux bonnes infos, « lb » c’est la livre anglaise, équivalente à 453,592 grammes.
    Au Québec, je pèse donc, en pleine saison cycliste, où est ma calculette ?
    […]
    Ah ouais, quand même : 116 lbs, s’il vous plaît.
    Vincent, si j’ai la bonne donnée, tu es battu !
    Bon, ben apparemment, je suis light ; zut, contrairement au matériel de la même catégorie, je vaux pas un clou. Dégoûté.

  13. VANO

    C’est dommage que ca dévie du sujet principal, je trouvais sympa d’échanger nos trouvailles et nos astuces sur le matéreil.
    Personellement j’ai perdu 8 kilo et après perdre un os je n’aurais plus rien à perdre.
    Et je me suis monté un vélo à 5.93 kilo en 56 pour 3960 euros, ce que je trouve tres raisonnable sachant qu’a ce poids la on est souvent plus pret des 8000 euros.

  14. Marmotte

    On peu trouver ridicule de payer cher pour des composantes light… mais à ce compte-là, qu’est-ce qui n’est pas ridicule ?

    Le gars qui est un cycliste régulier, disons qu’il fait 10 000 km/an, à disons 25 de moyenne en tout et partout parce qu’il grimpe pas mal (d’où son intérêt pour le très léger – intérêt fondé sur des données ou non, peu importe), il passe quand même 400h sur son vélo par année.

    Le gars qui roule 18 000 km/an dans sa voiture, à disons 60 km/h de moyenne (très possible au Québec du moins), il passe donc 300h par année dans sa voiture. Il l’a payée combien sa bagnole…? Il a payé combien pour des « mags » qui rendent sa voiture plus belle, mais certainement pas plus performante ? Il pourrait avoir une voiture à 90 chevaux et 12 000$ qui lui ferait parcourir les mêmes 18 000 km/an à la même vitesse, exactement. Mais non, il a opté pour la voiture plus « performante » et peut-être un peu plus confortable, dont l’entretien est peut-être aussi un peu plus délicat. Et cette voiture, elle coûte 2, voire 3 fois plus cher. Pour combien de secondes économisées, au final ? Aucune.

    Pensez à tout ce que vous utilisez 400h et moins durant l’année. Est-ce que tout est systématiquement « low cost » ?

    Mon grille-pain n’est probablement pas le plus « low-cost » sur le marché, et pourtant, je l’utilise 2 minutes tous les 2 jours environ.

    Pourquoi pas mettre un peu de « bling » sur mon vélo alors ? Pourquoi dire que c’est ridicule ? C’est bien moins ridicule que bien d’autres choses… tant qu’on s’en sert pour la peine.

  15. Marmotte

    Autre remarque sur la consommation vs le R&D :

    Si l’on peut aujourd’hui s’acheter un vélo de route de très bonne qualité pour « X » dollars, c’est parce que quelqu’un, il y a 5-10 ans, a inventé les composantes de ce vélo complètement dément qui se vendait alors « 5X » dollars.

    Si les consommateurs moyens cessaient de réclâmer du haut de gamme (à tort ou à raison) l’intérêt de faire de la recherche et du développement de produits de haute technologie disparaîtrait complètement. Et plus le R&D va VITE, plus les prix, pour une même technologie, baissent VITE. Plutôt que de marginaliser ceux qui investissent gros pour quelques fibres de carbone et quelques grammes en moins, je préfère les remercier.

    Quelque part, c’est grâce à eux qu’on roule en 105/Ultegra plutôt qu’en Sora…

  16. Marmotte

    Autre remarque. Oui, une autre. C’est ma tournée.

    Je comprend néanmoins le raisonnement de ceux qui se rient un peu des trucs en carbone à 300$ pièce, quand le « quasi »-équivalent existe déjà pour le tiers du prix. Tout ce « bling-bling », est-ce que ça fait de nous, amateurs (et réel marché de l’industrie du cycle), des cyclistes plus heureux et plus performants? Pas tant que ça. La même chose est vraie, remarquez, pour votre TV à écran plat, votre imprimante couleur, votre nouveau PC, …

    À ce sujet, une petite réflexion. Une autre. La dernière du jour, c’est promis.

    Pensez-vous que les gens étaient moins heureux il y a 200 ans. Pensez-vous qu’ils seront plus heureux dans 200 ans. Probable que non. Alors qu’est-ce que la technologie nous a apporté ?

    Réponse personnelle (loin d’être une thèse de philo, je ne prétend à rien): mon impression est que ce n’est pas tant le progrès technologique en tant que tel qui améliore la qualité de vie des gens, que l’expérience qu’ils ont de ce progrès technologique.

    Autrement dit, une amélioration technologique que l’on ne « vit » pas « de notre vivant » ne change rien à notre qualité de vie « absolue », celle que l’on ressent au moment présent. Comment dire que ça améliore votre qualité de vie si vous n’avez pas vécu le avant et le après.

    C’est pour ça que l’automobile ne « manquait » pas aux gens il y a 200 ans, et c’est pour ça que le voyage spatial ne nous « manque » pas actuellement. On ne connaît pas « l’avant » dans le premier cas, et on ne connaîtra jamais « l’après » dans le second. C’est également pour ça que la radio, le téléphone, etc., vous laissent complètement indifférents d’un point de vue de la « qualité de vie ». Vous avez toujours vécu avec, et vous vivrez toujours avec. Idem, dans le vélo, pour les dérailleurs, les pédales à clip, etc.

    Par contre, l’avènement de l’Internet, du téléphone cellulaire, du « power meter », de la fourche en carbone, du vélo à 15 lb, bla-bla-bla, tout cela fait une petite différence par rapport à ce que l’on a déjà connu. Et on a dans ces cas de progrès technologique « vécus » l’impression que notre qualité de vie s’en est trouvée améliorée. Parce qu’on a connu l’avant et l’après.

    Je termine en résumant.

    On cherche tous à être heureux dans la vie, même si on l’oublie souvent (presque toujours même). Et améliorer cette chose abstraite qu’est la « qualité de vie » est le moyen souvent le plus concret (beau paradoxe n’est-ce pas) que les gens trouvent pour croire qu’ils sont plus heureux. Or, pour améliorer une qualité de vie, il faut qu’il y ait l’expérience vécue d’une différence. La portion d’amélioration de la qualité de vie qui passe par le progrès technologique (car il y a certainement d’autres facteurs déterminants) est donc surtout attribuable au progrès technologique « vécu de notre vivant ». C’est pour ça qu’on se fout un peu de tout le progrès qu’il y a eu avant. Notre « base level » de qualité de vie, c’est notre souvenir le plus lointain, et on construit là-dessus, en se disant – même si ce n’est pas vrai – que plus ça augmente (la qualité de vie), plus on est heureux.

    Maintenant, les innovations technologiques issues de la course aux grammes (ou plutôt la fuite des grammes), au carbone, au « stiffness to weight » et au « verticalement compliant » sont autant de petits progrès « vécus de notre vivant ». En profitant de tout cela, on a l’impression d’améliorer un tant soit peu notre « qualité de vie » de cyclistes. Et on se pense – à tort – plus heureux. C’est une perception. Juste une perception.

    Mais justement, c’est précisément la perception d’être heureux qui compte. Parce qu’on a rien que ça.

    La mesure du bonheur n’est pas absolue, c’est la perception individuelle et subjective qu’on en a. Concrètement, si profiter de l’innovation technologique dernier cri nous fait croire que l’on améliore notre « qualité de vie » ou notre petit « bonheur », et bien, c’est exactement ce qui s’est passé, car la seule mesure de ces choses que l’on connaisse est la perception subjective que l’on en a.

  17. Marmotte

    Remarquez que j’aurais pu résumer cet élan pseudo-philosophique par deux mots : effet placébo. Mais je trouvais ça un peu moins intéressant comme discussion.

  18. gainsley

    Au Québec, chez les maitres ( et j’imagine que c’est la même chose ailleurs ), les meilleurs grimpent en générant, grosso-modo, entre 4.5 et 5.0 watts/kg (poids incluant vélo, coureur, soulier, bouteilles, etc…) pour les ascensions disons entre 10 et 20 minutes. Donc, pour un très dispendieux 100 grammes en moins, on retrouvera un gros 0.5 watt (max) – ça fera surement la différence en fin de course :-).

  19. plasthmatic

    13 000 km par an, lieu de prédilection, les pentes, les plus longues, les altitudes les plus hautes, et les lieux les plus calmes possibles.
    Cadre Specialized Tarmac (le plus petit), roues passe-partout, des Mavic Ksyrium SL (que je vais après six ans compléter par une paire de Campagnolo Neutrons, moins chères d’ailleurs), groupe Shimano Ultegra SL, sauf dérailleur arrière Dura-ace, non choisi, c’était monté comme ça. Au final, une machine que je considère déjà haut de gamme, de 7,600 kg je crois, pour environ 3600 €, bien que les roues étaient déjà ma propriété.
    Comme pour le précédent vélo, je ne change que ce que l’usure dicte de changer, bien incapable que je suis de me laisser tenter par aucun matériel, faute de pouvoir y accorder une quelconque attention (on ne se choisit pas) et au final, hormis pneus et transmission, y a pas tellement.
    Je considère ce matériel comme amplement adéquat à ma pratique cycliste ainsi qu’à mon niveau.

    Attention, contre-pied :

    Non, je ne vais pas écrire la conclusion qu’on peut attendre de tout ce qui précède, bien que tu sois vrai, pas un poil même déformé.
    Je ne vais donc pas conclure que le light est très cher, que ça sert à rien, qu’on n’a qu’à maigrir, etc …
    Comment on dit déjà ? Chacun voit midi à sa porte ? Exactement.

    – Vincent, par exemple, a souligné le truc que perdre du poids (ou être léger) est une chose, acquérir un élément light peut en être une autre. L’un améliore la forme, l’autre le rendement de la machine, plus ou moins, mais chacun le sait ça, compris l’acheteur !

    – Marmotte a écrit : « Plutôt que de marginaliser ceux qui investissent gros pour quelques fibres de carbone et quelques grammes en moins, je préfère les remercier. »
    Je me permets de compléter : « … et moi respecter … »
    Quel forme de respect ? Ne pas avoir d’avis, « de jugement », tout simplement … midi à sa porte …
    Etonnant ce besoin de se gausser de celui qui met du fric dans ses pompes, sa machine ? Je perçois à chaque fois même une résonance assez « désagréable », et je crois en avoir identifié le pourquoi. Il s’agit en fait d’une forme de … condescendance toute paradoxale : « la condescendance du pauvre », hum.
    Non réservée aux démunis en prime, si on est en plus capable d’un soupçon de mauvaise foi …

    Et voilà.

  20. plasthmatic

    Ah, une coquille doublée d’une faute :

    … bien que « tout soit » vrai …, et non « tu sois vrai »

    Ainsi soit-il.

  21. Ah ces histoires de light!!! Ça me rappel que mon collègue chez sdvmag.com avait baptisé ça « Les histoires de « CUL » (cycliste ultra léger)

    Mais il n’y a pas à dire, du bling bling ça reste du beau matos. On est pas tout fait à 135 livres mouillés, des fois sauver 1 ou 2 livres, ça fait du bien surtout quand on doit toujours rouler sur du XL 😉

  22. Marmotte

    plasthmatic,

    Il fallait quand même voir un petit peu d’ironie, sinon de sarcasme, dans mon « merci » aux utilisateurs du très high-tech. 😛

    Pcq le high-tech d’aujourd’hui est le « middle-tech » dont je profiterai dans 10 ans pour une bouchée de pain, une fois que l’industrie aura rentabilisé son R&D et, surtout avouons-le-nous, quand la « mode » aura changé…

  23. plasthmatic

    Je te sais « non-niais », Marmotte … J’espère que la réciproque tient ! Non, je n’avais pas complètement lu ton ironie, mais j’y avais mis de la mesure, par exemple.
    En revanche, « naïf », me concernant, ne me gêne pas, au contraire …

    Simplement et en qqs mots j’espère (pour ceux qui lisent !) : il m’arrive de trouver le light, et l’investissement matériel « ridicule », « frime », etc … parfois même certains possesseurs de ce matériel … bien sûr.
    Mais ma mesure n’est que « moi » … et « on » est qui pour ? Et surtout, ce genre de « préoccupations », d’idées, je ne leur accorde que le temps de me traverser, les rares fois où la porte de mon esprit obtu leur a été entrouverte …

  24. Christophe

    Salut à tous,

    Il y a beaucoup d’idées dans vos propos. Le vélo, j’ai commencé avec un acier à 16 kilos environ. Faire des courses et triathlon avec une telle mule est un véritable handicap. J’ai malgré tout fait des places honorables. En changeant pour un vélo de 10 kilo, je me suis retrouvé devant lors des courses.
    On est alors pas plus fort, mais on utilise beaucoup moins d’énergie (est donc plus de fraîcheur pour la fin). Aujourd’hui j’ai un vélo à 8 kg, et je veux encore l’améliorer (en poids) ? Pourquoi ? la réponse est simple, j’arrive à suivre les meilleurs mais que sur les 80 à 100 premiers km, dans la montagne chaque gramme se compense par de l’énergie supplémentaire.
    Un gain d’un kg, me permettrait certainement de finir les courses de 150 à 200 km avec les meilleurs (car eux faut pas rêver mais leur vélo ne pèse pas grand chose) et s’ils faisaient la même course avec 3 ou 4 kg supplémentaires, ils ne termineraient plus dans les 1er.
    Voilà, je voulais dire que le light pour les coureurs c’est important (en terme de coût d’énergie). On ne devient pas plus fort mais on est fort plus longtemps.
    Enfin, laissons ceux qui ont les moyens et l’envie, la passion de rouler avec du beau matériel, on ne vit qu’une fois.
    Bonnes fête à tous,
    Sportivement,
    Christophe

  25. noirvélo

    Salut à tous,
    en reprenant le cour du site, je voulais préciser:
    le light, c’est bien,même super, pour le poids et la qualité de finition des produits,je reconnais j’y suis sensible, mais il ne faut pas oublier deux choses quand même fondamentales:
    1) la sécurité, parce que descendre un col à 80/h avec
    un « proto » à 5kg, j’y crois pas; je le laisserais
    à côté de ma cheminée, mes « oscars & césars »,à le
    contempler…Pour moi Jens Voight est tombé dans le
    tour en descente de col parce que la moindre faute
    de déconcentration, lacher le guidon par exemple,
    d’une « formule 1 » hyper légère et forcément hyper
    rigide, à la moindre aspérité dans la chaussée et
    c’est la gamelle assurée! Le « tout carbone » cadre,
    fourche et roues, gonflées à bloc, le tout bien
    tendu…

    2 l’amortissement et donc le confort qui font que
    l’ensemble doit absorber les vibrations diverses
    émises par la chaussée, les routes, n’étant compara-
    bles à du billard…
    Des progrès ont été réalisés mais le superlight manquera toujours de sécurité et de confort… après 150 bornes, ces deux notions sont appréciables et ne nuisent en aucun cas au rendement, bien au contraire…
    pour ma part:
    cadre titane SEVEN axiom sg,fourche et cintre EASTON SLX,selle ALIANTE, roues neutron ultra pour rouler loin, longtemps et…vite quand même!
    Bonne route à tous!

  26. Ray SIG

    Bonjour, j’aimerais avoir votre opinion sur les ZIPP 202 pour les côtes de même que les 2 ou 3 meilleurs boyaux sur le marché.

    Merci,

    Ray SIG

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