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1er salon du vélo de Gatineau-Ottawa

C’est le week-end prochain (16 au 18) que se déroulera la première édition du Salon du vélo de Gatineau-Ottawa.

L’événement prendra place au palais des congrès de Gatineau.

De nombreux exposants d’ici et d’ailleurs sont attendus. Le guide du visiteur est désormais disponible (ici) et force est de reconnaître que les kiosques seront nombreux et variés. Comme d’hab, ces salons ont l’avantage de regrouper en un seul endroit les ressources d’une région, et donc représentent une excellente occasion d’être efficace dans ses recherches pour du matériel, des organisations, des épreuves, ou encore des équipes sportives.

Le salon était encore récemment à la recherche de bénévoles. Si cela vous intéresse, vous pouvez communiquer avec Anne Joceline Cyr (ajcyr@expodium.ca).

« Probablement que si j’avais triché, je n’aimerais plus ça. »

La phrase est de Pierre Harvey dont le fils Alex est présentement aux JO de Pyeong Chang, disputant bien sûr les épreuves de ski de fond. Pierre Harvey s’exprimait très récemment dans la rubrique « Podium » de Radio-Canada. Il faut lire ce texte.

J’ai toujours apprécié Pierre Harvey pour son équilibre dans la vie, pour son jugement, pour son recul face au sport et à la vie en général. Il est assurément un point d’ancrage important qui a permis à son fils Alex d’aussi faire preuve d’équilibre et de mesure dans sa pratique actuelle du sport de haut niveau. Autrement dit, de « rester groundé ».

Rarement un texte publié par un athlète d’une telle envergure – il a représenté le Canada en cyclisme lors des JO de 1976 et 1984, et en ski de fond en 1988 – a pu refléter d’aussi près ma philosophie du sport. Pierre Harvey y dénonce certes le dopage, estimant par exemple s’être fait « voler » lors des JO de Calgary en 1988, mais va aussi plus loin, notamment lorsqu’il contextualise ce dopage dans la vie plus générale d’un homme ou d’une femme. Extrait:

« Plus généralement, c’est évident que la raison pour laquelle j’ai eu du succès, c’est parce que j’ai continué l’école. Disons que la veille des sélections olympiques de Sarajevo, en 1984, je n’étais pas aussi stressé que mes amis! Celui qui est parfois sur la limite des sélections, il se dit que s’il n’est pas dans les trois premiers, il retourne chez lui, à Saskatoon. Ils étaient nerveux, ils se couchaient tendus et ne dormaient pas de la nuit. Sur la ligne, ils partaient en fou et ils explosaient. Tandis que moi, je me disais : « Si je ne fais pas partie de l’équipe, ce n’est pas grave, je retourne travailler chez Vachon, pas de stress. » J’étais capable de me concentrer sur la job à faire plutôt que sur la conséquence.« 

Le dopage vient en effet aussi plus facilement pour celui qui investit tout dans le sport, et qui n’a donc rien en cas d’échec… Le sport ne devrait jamais prendre toute la place dans une vie. Les entraineurs ont dans ce contexte une grande responsabilité, surtout chez les plus jeunes qui démontrent du potentiel.

Petit Tour de l’actualité

Ca fait une sacré mèche que je ne vous ai pas proposé un Tour de l’actualité: c’est parti pour ce qui a retenu mon attention au cours des derniers jours.

1 – Mine. C’est une sacré mine qu’a placé le Français Julian Alaphilippe – j’adore ce coureur – à quelques mètres de l’arrivée de la 4e étape de la course Colombia Oro y Paz. Alaphilippe gagne déjà début février, et s’il nous faisait une très grande saison, notamment sur les Ardennaises et le Tour?

2 – La Colombie qui gagne. On croyait que Nairo Quintana avait fait le plus dur lors de la 5e étape afin de remporter le général de la Colombia Oro y Paz. Et bien non! Il a été coiffé lors de la 6e étape par le tout jeune (21 ans) espoir Colombien Egan Bernal de l’équipe Sky, qui a surtout fait ses classes dans le VTT avant de se consacrer davantage au cyclisme sur route. 6e du Tour Down Under en janvier, champion national colombien du chrono, ce Bernal est en train d’éclore au plus haut niveau, s’imposant ce week-end devant les Quintana, Henao et Uran, excusez un peu. Assurément un nom à retenir…

3 – Italie. Victoire italienne sur la première course italienne de la saison, le Trofeo Laigueglia, puisque Moreno Moser s’y impose de belle façon, en solitaire. Après une saison très discrète l’an dernier, le verra-t-on relancé en 2018 dans son équipe Astana? Rappelons que ce coureur avait terminé 2e du GP de Montréal en 2012.

4 – Transju. Je parle de l’épreuve mythique de ski de fond, la Transju, qui avait lieu ce week-end du côté du Jura en France. Le coureur cycliste Thibault Pinot, pas un manche, y termine 51e, une excellente 51e place dirons certains, « seulement » 51e diront d’autres… Pinot a assurément la caisse, la VO2max et l’endurance pour affronter ce genre d’épreuve longue (59km). Mais le ski de fond exige aussi de la technique, et de bons bras… pas toujours simple lorsqu’on est surtout cycliste! Bravo également à Hughes et Lionel, mes amis chez les « VeloGessiens », pour leurs belles places sur l’épreuve! Un jour, j’y serai moi-aussi!

5 – Picolo Vélo. La société montréalaise Picolo Vélo propose un produit pour le moins original, soit des cadres de vélo en… bois! Taillés dans du frêne, l’avantage de ces cadres est évidemment la filtration exceptionnelle des vibrations de la route, pour un confort unique. Et un look qui est lui aussi unique bien sûr! J’aime, mais peut-être pas pour affronter la Haute Route…

6 – Godasses. La société américaine Specialized vient de lancer un nouveau modèle – le modèle 7 – de ses chaussures mythiques S-Works, que j’estime personnellement comme les meilleures, point barre. Ultra-légère, simple, bien foutues, d’un excellent confort, ces chaussures sont difficiles à battre. On regrettera peut-être le choix de couleurs, pas assez étendu pour ce nouveau modèle. Le prix resterait le même que le modèle 6 des dernières années.

7 – Corps humain. J’ai été intrigué par cet article publié sur le site de Radio-Canada qui rapportait que selon des chercheurs, le corps humain aurait atteint son plein potentiel physique. Autrement dit, les records ne tomberont plus beaucoup. Possible, car l’être humain a optimisé beaucoup de choses au cours des dernières décennies notamment dans le sport. Mais les recherches, les découvertes – malheureusement aussi en matière de dopage – feront encore évolué les choses, j’en suis sûr!

Dopage: pas juste le cyclisme, le ski de fond aussi

La nouvelle a été diffusée dimanche dernier, et je suis surpris de ne pas l’avoir vu davantage partagée sur les médias tant elle m’apparait importante: le profil sanguin de 50 athlètes en ski de fond qui seront présents aux JO de Pyeongchang est suspect, tellement suspect que la probabilité que ces profils sanguins anormaux soient dus à autre chose que du dopage est d’au plus 1% selon les experts.

Ouf!

Plusieurs médias britanniques, allemands et suisses, notamment, ont unis leurs efforts pour examiner en détails le profil sanguin de près de 2000 skieurs de fond d’élite, dont des échantillons avaient été prélevés au cours de la période 2001-2010. Plusieurs d’entre eux sont toujours en activité sur le circuit de la Coupe du Monde.

Les résultats parlent d’eux même: le tiers des médailles aux JO et aux Mondiaux durant cette période auraient été remportées par des athlètes au profil sanguin suspect. On parle ici de « fortes irrégularités » au passeport sanguin.

La base de données analysées tenait compte des médaillés sur la période 2010-2017, qui présentaient des valeurs suspectes au cours de la période précédente. Autrement dit une nouvelle foi, des athlètes encore en activité.

Si le nom des athlètes n’a pas été révélé, les auteurs de l’enquête ont publié un classement par pays. Sans surprise, les athlètes russes arrivent au premier rang, suivi de l’Allemagne et de la France.

Fait intéressant, le Canada aurait présenté, au cours de cette période, 10 athlètes en ski de fond avec des données sanguines suspectes. Des fondeurs canadiens ne seraient donc pas au dessus de tout soupçon.

Une réaction de Ski de Fond Canada est attendue plus tard aujourd’hui, et celle du Comité International Olympique demain.

Comme quoi, le dopage sanguin massif est loin d’être limité au seul cyclisme… et le ski de fond comme l’athlétisme demeurent probablement des sports significativement gangrénés eux-aussi.

Il conviendra de regarder les épreuves de ski de fond aux prochains JO avec un petit esprit critique!

Et tant qu’à être dans le ski de fond, deux belles épreuves de la WorldLoppet se dérouleront durant les deux prochains week-ends: la Transjurassienne en France (w-e prochain) et la Gatineau Loppet ici, à Gatineau au Québec (dans deux semaines). Thibault Pinot sera au départ de la « Transju » et Laurent Martel (!!!) à celui de la Gatineau Loppet!

Les travers de Strava

Strava: l’application ne laisse plus personne indifférent.

Pour certains, c’est génial, car en permettant de se mesurer aux autres, l’application est à même d’entretenir la motivation, le goût du dépassement et la convivialité entre athlètes. Strava peut aussi constituer un carnet d’entrainement, et donne accès à certains indices de forme qui pourront être utiles pour plusieurs. Et pour des équipes cyclistes, c’est par exemple un moyen par exemple de comptabiliser l’ensemble des kilomètres parcourus par les coureurs une année durant.

Pour d’autres, c’est nul voire dangereux: il y a en effet déjà eu des morts parmi ces athlètes prenant tous les risques pour devenir « King of the Mountain » (KOM) ou « Queen of the Mountain » (QOM), ou pour reprendre un titre perdu, notamment sur des tronçons urbains qui, parfois, sont insensés.

D’autres voient un côté « voyeur » à l’application, ou une application uniquement destinée à combler les plus narcissiques d’entre nous.

Je suis un athlète Strava. Selon de mes dispositions d’esprit, j’y ai souvent trouvé source de motivation, mais aussi parfois source de malaise, de démotivation voire de dégoût. Depuis quelques temps, je commence à y voir davantage de négatif que de positif, recherchant probablement la finalité ultime de tout ça… que je ne trouve pas. Un début de sagesse?!

Quoi qu’il en soit, Strava inquiète désormais les autorités militaires puisqu’on peut y identifier, grâce au « global heat map« , des zones militaires en pays hostile, comme par exemple des bases américaines, françaises ou russes en Afghanistan, en Syrie, en Iraq ou encore au Niger. Comment? Tout simplement parce que les militaires y vivant téléchargent leurs entrainements – souvent de la course à pied – géolocalisées, et que l’intensité des activités apparait sur la carte!

Évidemment, il s’agit d’un risque significatif à la sécurité de ces bases militaires. Si la solution apparait simple (interdire de telles applications aux militaires en mission à l’étranger), elle reste à la déployer… et en attendant, le risque est là.

Chose certaine, Strava est là pour rester. À chacun d’entre nous d’y trouver son bonheur… ou pas! Certains artistes sportifs l’ont trouvé en imaginant même de créer des formes – animaux, messages, etc. – avec l’itinéraire de leurs entrainements!!!

Just Bite, mon premier coup de coeur de l’année!

Je me régale en ce début d’année 2018 avec les collations Just Bite, spécialement conçues pour le sport.

J’ai eu le plaisir de découvrir plusieurs d’entre ces collations récemment et j’ai été bien agréablement surpris. Pas compliqué, c’est délicieux! Un petit bonus pour les athlètes que nous sommes, car c’est comme une friandise qu’on s’offre avant ou après l’entrainement; bref, le petit plus qui motive! Je suis vite devenu accro…

Le concept est simple: on commande sur le site, et on reçoit par la poste chaque semaine nos collations énergétiques, selon le thème retenu: performance sportive, énergie soutenue, récupération musculaire, le plein antioxydants ou force immunitaire.

Les collations sont bien nourrissantes, suffisantes en tout cas pour vous rassasier pendant un petit moment. Et chacune de ces collations sont emballées individuellement, proposant chaque fois une nouvelle découverte de saveur. Vraiment intéressant.

On a parlé de ce produit à l’émission « Les fêtes et rien d’autre » de la radio de Radio-Canada le 2 janvier dernier, dans le cadre d’une chronique culinaire sur les produits culinaires québécois. Ceux qui voudront plus de détails pourront s’y référer.

C’est fait au Québec, par une entreprise familiale, et le service est excellent, « sur la coche ». Allez-y les yeux fermés!

2018: The Mortirolo awaits…

En ce Jour de l’An 2018, je souhaite à tous les lecteurs de La Flamme Rouge une belle année cycliste, remplie de belles sorties et de découvertes, afin de ne jamais oublier comment la vie peut-être simple lorsqu’on roule à vélo…

Et je partage ce magnifique vidéo de Col Collective sur le Mortirolo, où j’espère me relancer sur une nouvelle ascension en 2018…

Nouveau maillot AG2R – La Mondiale

L’équipe française dont le siège social est à la Motte Servolex près de Chambéry a dévoilé plus tôt cette semaine son nouveau maillot pour la saison 2018.

Du classique, plus simple encore que le précédent. Pourquoi pas?

Ceci étant, je pense que le design dans le monde du vélo manque parfois d’inspiration. La preuve? Je suis tombé sur cet exercice de style présenté par Dans ma musette, le redesign de plusieurs maillots du peloton, incluant AG2R La Mondiale, Sky, Movistar, Dimension Data, Astana et Cannondale-Drapac.

Plutôt réussi non? Le peloton aurait davantage de couleurs et d’originalité si on sortait ainsi des sentiers battus (traditionnels)!!!

Facebook en complément

Vous aurez remarqué que les articles de La Flamme Rouge sont désormais accessibles sur la page Facebook du site.

Certains lecteurs ont exprimé des inquiétudes de ne voir ces articles que disponibles sur Facebook.

Rassurez-vous, ce site continuera d’exister selon la formule actuelle, bien que je travaille actuellement à renouveler l’interface et le look du site qui n’a pas changé depuis quelques années. Il n’y a pas de mal à se moderniser un peu!

Les articles Facebook sont un complément, une façon de rejoindre un plus grand nombre peut-être. C’est à l’essai pour un certain temps.

Je crois encore beaucoup en la valeur ajoutée des blogs, dont celui-ci bien évidemment qui, par la qualité de vos commentaires et de vos opinions exprimées en réaction à mes articles, permettent à plusieurs de se forger une idée précise d’un sujet. Merci à tous pour continuer à contribuer ainsi à la qualité de La Flamme Rouge, un site qui est probablement devenu, sans le chercher, unique dans le monde du cyclisme francophone.

L’aventure se poursuit!

Danilo Di Luca: cycliste infiltré

Danilo Di Luca: pour moi, ce coureur a incarné des années durant la classe à l’état pur, le talent, et le panache. Un attaquant, un vrai. Un gros moteur couplé d’un mental de guerrier.

Si je n’ai jamais eu d’idôle en cyclisme, pas même Marco Pantani, le coureur que j’ai pourtant le plus admiré, l’Italien des Abbruzes Danilo Di Luca a toujours été sur ma courte liste de mes coureurs préférés parce qu’avec lui, il se passait toujours quelque chose en course.

Mais quel gâchis aussi… Di Luca a couru durant l’époque noire du vélo, une époque difficile tant l’abus de dopage sanguin était répandu.

Je viens de terminer la lecture du livre Danilo Di Luca, Cycliste infiltré. Une sorte d’autobiographie du coureur, rédigée en collaboration avec Alessandra Carati.

Pour beaucoup d’entre vous, le livre n’aura que peu d’intérêt. Di Luca y raconte essentiellement sa carrière, son ascension, ses succès dont le Giro 2007, puis sa descente aux enfers.

C’est toutefois un livre courageux à plusieurs égards: Di Luca n’exprime aucun regret et assume, et ne veut manifestement pas qu’on le plaigne. Le seul regret que vous trouverez dans ce livre, c’est au tout dernier paragraphe: « Cette histoire n’a pas de fin, c’est ma vie. Le poids le plus lourd que je porte avec moi est la douleur causée aux personnes que j’aime et que j’ai aimées. Quant au reste, je m’en suis sorti. »

La valeur ajoutée de ce livre, c’est que Di Luca nous aide vraiment à comprendre « Le Système ». Il donne le ton dès la page 15: « J’ai menti, j’ai triché, j’ai fait ce que je devais faire pour arriver le premier, mais ce n’est pas le problème. Le problème, c’est que je ne me suis pas immunisé contre le système. »

C’est exactement ca. Ce livre est intéressant car il nous permet de comprendre le contexte dans lequel les coureurs pro évoluent. Di Luca y traite bien sûr de la difficulté extrême du sport, des mensonges quotidiens à son entourage, au public, de la pression des contrôles fréquents, des passages de désespoir qu’il a traversé, des procès, mais surtout, surtout, du fait que sans les bons appuis, tu ne peux pas réussir dans ce sport.

On parle ici de quelques acteurs clé du cyclisme italien, les sélectionneurs nationaux, le CONI, les organisateurs du Giro, les managers d’équipe.

Dans le vélo, tout se sait, et il est facile de tomber à l’index si tu prends trop de place, ou si tu ne respectes pas les « règles » du milieu.

Di Luca en a payé le prix.

J’ai aimé ce livre parce qu’il m’a permis d’acquérir l’intime conviction que dans les histoires de dopage mécanique, notamment l’Affaire Cancellara, le milieu sait, lui… Pas besoin d’une enquête pour ca, et certains feront ce qu’il faut pour protéger le business.

Des cadeaux pour le(la) cycliste sur la coche

Fidèle à ma tradition débutée en… 2004, voici quelques idées pour le ou la cycliste qui veut être « sur la coche » en 2018…

1 – T-Shirt Squadra di ciclismo, de la marque Après-Vélo. De façon générale, j’aime bien les T-Shirts originaux de cette marque… originale.

2 – Compteur GPS Wahoo Element Bolt. Moins cher que son rival Garmin, chargé de fonctionnalités intéressantes, et notamment des entrainements de l’équipe Sky. Sans compter la connectivité à votre téléphone, et aux segments Strava en direct. Du beau matos!

3 – Livre Le coureur et son ombre de Olivier Haralambon. Parce que c’est ce qui s’est fait de mieux depuis Antoine Blondin, point barre.

4 – Pour vous les filles, la crème chamois Assos spécial femme. Parce que ca faisait trop longtemps que cette crème, indispensable, était disponible pour les hommes, et non pour les femmes. Assos a corrigé cette injustice et c’est tant mieux. À abuser à volonté!

5 – Livre Dans la musette – Le cyclisme à la sauce ketchup-mayo jaune. L’actualité cycliste depuis 2012 revisitée… façon déjantée! Rafraichissant, pour se changer les idées durant la période des Fêtes!

6 – Lampe frontale Ay Up. Tout simplement la meilleure lampe frontale pour la pratique du vélo sur route, du mountain bike, ou du ski de fond. Trois options d’achat possible, route, mtb ou course. Parce que si comme moi vous devenez cycliste nocturne aussi, ça vous prend ça!

7 – Selle Italia SLR Tekno. 90 grammes pour une selle full carbone, un condensé de technologie, le confort en plus. Un bel objet! Et il y a mieux, la SLR C59… mais à 63 grammes et plus de 700$ (500 euros!), je n’ai pas osé…

8 – Top Peak Nano Torqbar Dx. Là encore, un bel objet, utile aussi… et très portatif quant on part en voyage loin avec le vélo et qu’il faudra le remonter une fois arrivé à destination.

9 – Sac Race Rain de Scicon. Un beau sac technique, pour les jours de course afin de vous permettre d’avoir l’air (!!!) professionnel, tout en n’oubliant rien à la maison puisqu’il y a un emplacement pour chaque chose (et c’est comme le Port-Salut, c’est écrit dessus…). Ben oui, t’es rendu là.

10 – Chaine Ceramic Speed UFO. Parce qu’une chaine qui réduit la friction, ben c’est des watts de gagnés lorsqu’on part sur un gros objectif, comme des Championnats canadiens ou une cyclo qu’on prépare depuis des mois… C’est évidemment de l’exclusif, à n’installer que pour les grands rendez-vous… lorsqu’il ne pleut pas.

11 – Les tasses cyclistes du site Rouleur. Un classique, mais chaque année l’offre semble augmenter. C’est l’fun, surtout lorsque vos potes débarquent le matin, pour le café, avant une sortie… l’occasion de marquer des points!

12 – Toiles de France Malo. J’aime beaucoup les tableaux cyclistes peints par l’artiste québécoise, qui marient mouvements et couleurs. Voilà qui décore admirablement bien un intérieur… parce que le vélo, c’est aussi un art!

La Flamme Rouge en mouvement

L’article d’hier sur la « reverse periodization » a suscité beaucoup d’intérêt, notamment en coulisse, et j’espère vous revenir bientôt avec plus d’information et d’avis sur cette méthode d’entrainement.

En attendant, je tenais à vous informer qu’une nouvelle page La Flamme Rouge est disponible sur Facebook. Le site est actuellement en restructuration, question de le moderniser et d’y apporter une plus grande valeur ajoutée. Les orientations générales font également l’objet de réflexion: devrais-je encore couvrir aussi intensément le cyclisme professionnel européen? Faire davantage de reportages sur mes expériences, jouer davantage vers l’événementiel?

Je vous invite en tout cas à « aimer » la page Facebook de ce site. La nouvelle interface devrait permettre une présence accrue sur ce média social.

Et oui, la nouvelle interface devra avoir une fonctionnalité vous permettant de recevoir un avis par courriel chaque fois qu’un nouvel article sera disponible. Vous êtes nombreux à me le demander depuis des mois!

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