Tous les jours, la passion du cyclisme

 

The Impossible Route – Mauna Kea (Hawai)

Partager

Précédent

Soleil de juillet

Suivant

Covid-19: rouler dehors, ou pas?

  1. noirvélo

    Au delà de la performance , (je m’en fiche de plus en plus des exploits qui au final ne servent pas à grand chose sauf et surtout à nourrir son égo) , je retiens le « rouler à vélo pour découvrir  » , le voyage et les paysages , l’ambiance et l’atmosphère … Un peu trop de bavardage (je n’ai rien compris!) mais images magnifiques !!!

  2. garolou

    Coincidence? Au moment d’écrire ces lignes, et ben c’est exactement là que je devais être aujourd’hui 🙁 bouhou bouhou sanglot sniff sniff sanglot. Au lieu de ça…….
    Totalement surréaliste ce virus.

  3. Wolber

    Devant l équipe 21, je n oublie pas que Pantani a été contrôlé positif l année où Armstrong à commencé à gagner le Tour.
    Ç est Hamilton qui écrivait ds son bouquin que le Texan avait pour habitude de balancer à l uci ces petits copains.

  4. Pierre Lacoste

    Il y a une vingtaine d’années, j’ai passé dix jours à travailler sur la Big Island, avec le comité éxécutif du Cirque du Soleil. L’horaire de travail permettait de prendre certains après-midis pour nous, et j’avais trouvé quelqu’un qui louait des vélos de montagne…de marque Kona, bien sur! Je ne suis pas monté plus loin que le piedmont du Mauna Kéa, mais j’ai eu tout de même le temps d’explorer les routes longeant la côte ouest (semi-désertique; la côte est, très verdoyante, reçoit beaucoup de pluie). Le vent était tout bonnement incroyable, surtout qu’il faisait tempête de l’autre côté de l’île. Vent de dos, j’avais la chaîne tout à droite sur le vélo et je dépassais les 60 km/h; vent latérale, je roulais penché à 25-30 degrés pour ne pas prendre le champ et au retour, je peinais à tenir du 22 km/h. Insensé! Le sommet du Mauna Kea retenait la pluie abondante qui inondait la côte est; de notre côté, c’était le grand soleil, mais je sentais une légère bruine sur mes bras et en regardant vers le sommet, on voyait un arc-en-ciel causé par cette bruine. De l’hôtel, on voyait les dômes des observatoires, minuscules, de petites taches blanches au loin. Entre-temps, au sud de l’île, le volcan continuait à rejeter de la lave dans l’océan. Mémorable. Mais la montée que se sont tapés les protagonistes, ici, c’est autre chose!

  5. thierry mtl

    J’ai tenté de louer un vélo à Hilo (la ville la plus proche de ce volcan) l’an dernier. Mission impossible. Un seul vrai bike shop dans cette ville. Si vous y aller, mieux vaut amener le votre.
    J’ai monté le volcan à pied. Super journée.

    Le vélo est peu développé sur Big Island. Même à Kona, centre mondial du Iron Man, peu de bike shop et très peu de cyclistes. Je m’attendais à une phénomène social triathlon comme à Mt Tremblant, mais pas du tout.

  6. Lacoste

    À Thierry: effectivement, j’étais le seul cycliste, un extra-terrestre, là où je me trouvais, à Hapuna. Pourtant, il y avait à l’époque ce service de location, disparu aujourd’hui je suppose.

L’auteur de ce blog encourage tous les lecteurs à laisser un commentaire en réaction à l’article du jour, cela contribue à enrichir le propos. Vous pouvez contribuer à la qualité de ce site en utilisant un langage décent, poli et respectueux d’autrui, et en étant pertinent et concis envers le sujet traité. L’auteur peut modérer les commentaires, et se réserve le droit de censurer sans avertissement les commentaires considérés hors sujet, diffamatoires, irrespectueux d’autrui, portant atteinte à l’intégrité d’une personne ou encore haineux.

Répondre à Pierre Lacoste Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.