Tous les jours, la passion du cyclisme

 

Joyeux Noël!

Je souhaite à tous les lecteurs de La Flamme Rouge un très joyeux Noël! Merci de votre passion pour le cyclisme, elle est contagieuse et ca fait du bien! L’aventure se poursuit!

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2018: The Mortirolo awaits…

24 Commentaires

  1. Tchmil

    Egalement Joyeux Noël à tous et toutes !

    Dis-donc ce n’est pas toi sur la photo, fatigué des séances de home-trainer et de musculation en salle et qui s’en est allé dehors par ce temps en cuissard et manches courtes?
    Avec Mica dans la voiture qui hurle de bien mouliner dans la montée de la Gatineau.

    longue vie à LFR et à la passion populaire du vélo!

    Bon chocolat chaud et bons chocolats tout court 🙂

  2. Wolber

    Liege bastogne liege 1980? Non , le velo sur la photo , me paraît un peu vieux . Joop Zoetemelk ? Bon Noel à LFR…

  3. lbi

    Un moyeu joël à tous, longue vie à LFR!!!
    PS: no limit sur les repas 😉

  4. Andy Lamarre Mtl.

    Bon ski a tous les amoureux de vélo.
    BONNE ANNÉE ET JOYEUX NOEL A TOUS.

  5. mica

    Magnifique photo en tout cas qui illustre bien les vicissitudes du sport qui nous prends la tête quelquefois…souvent…
    Non Tchmil je ne hurle pas de « mouliner » en côte, car c’ est précisemment là que l’ on peut tourner les jambes un peu moins vite. Là, tout le corps participe à l’ effort on peu monter en danseuse, assis on peut avoir le buste redressé, les mains peuvent étre posées sur le haut du guidon… bref à 25 à l’ heure on n’ a pas trop encore à se préocuper de l’ aérodynamisme.
    C’ est tout à fait différent sur le plat, ou l’ on doit rester groupé , profilé, aérodynamique et surtout pas en danseuse c’ est encore plus vrai en sprint..donc réduire les braquets pour sprinter assis (50×14 éventuellement)
    Tchmil: interpellé, je n’ ai encore pas pu m’ empécher de répondre..

  6. Djm

    Ça y est! Le point MacLay est atteint dés le 5ème commentaire. Peut faire mieux en 2018.

  7. JL

    Bon réveillon à tous.
    Merci à LFR et longue vie.

    Take care.

  8. Joyeux Noël à tous.

    J’ai un cadeau pour Mica, une perle :

    https://www.youtube.com/watch?v=mEBqyqtm5Zk

    Vive le Tour ! est un court-métrage français réalisé par Louis Malle en 1962… Le narrateur est Jean Bobet, le frère cadet de Louison Bobet.
    La musique est de Georges Delerue, ce qui n’est pas mal non plus.

    40 après, pourtant couvert de gloire et de divers prix prestigieux pour son oeuvre cinématographique, Louis Malle plaçait ce court-métrage en tête de ses films préféré.

  9. Yvon

    Bonne année Laurent et à tous les amoureux du vélo francophones, vos chamailleries me regalent’ Bien partisan des petits. Braquets je suis moins absolu que Mica dont les commentaires me ravissent car ils réveillent quelques assoupis Merci à tous

  10. noirvélo

    mica, pignon (de 14) d’or de l’année 2017, à l’unanimité
    … je ne m’avance pas de trop !
    encore BONNE ANNEE 2018 à tous …

  11. mica

    Merci à Tchmil, Djm, Eric, Yvon, Norvélo, d’ avoir une petite pensée pour ma modeste personne, même et surtout si c’ est avec humour!
    Un merci ^particulier à Eric pour la « perle » du TDF
    1962. D’ autant plus que ce petit film corrobore, en de nombreux points, des idées que j’ ai souvent exposées ici.
    Le narrateur,Jean Bobet, (qui n’ est pas n’ importe qui, coureur pro, universitaire et frére d’ un super champion) souligne la derniére heure des étapes de plat courues à 60 Km/h de moyenne( pas mal…et fait on beaucoup mieux aujourd’ hui?
    Il évoque le rôle des équipiers qui emménent leurs leaders « frais et dispos » pour les derniers Km.
    Le sprint (sur piste béton en état trés moyen semble t’ il) se déroule (j’ ai compté! ) à environ 135 tours de pédale/ mn soit avec un 54×14 (env. 8.5 de dév.) une vitesse moyenne ,sur 250m , de 68,8 Km/H.
    On fait moins bien maintenant, et l’ on ne peut pas invoquer ici un sprint en faux plat descendant, ou avec vent favorable puisque cela se déroule sur piste et sur au moins un demi tour.
    Avez vous remarqué la vélocité des coureurs de l’ époque!
    Certes le sprint parait moins « échevelé », moins zigzagant, moins désunis que ceux auquels nous avons droit maintenant, mais, quelle efficacité. Et je dis et répéte qu’ un sprinteur moderne enroulant un braquet réduit (peut être 54x 14) ferait des ravages, car, outre un meilleur rendement, il n’ exposerait pas un Scx trop grand en ne se levant pas de sa selle.
    Quand je dis que le cyclisme se tire une balle dans les rayons en usant et abusant des 11, 12 et 13 dents (x 54, 56 ou 58) je ne suis pas loin de la vérité, et cela est vrai aussi pour les CLM (du moins ceux qui restent)
    Quoi qu’ il en soit, ce court métrage est riche d’ enseignements, merci Eric de l’ avoir « ressucité », et il y aurait bien d’ autres conclusions à en tirer.

  12. mica

    J’ oubliais, dans mon enthousiasme: Bonne année à tous, et voeux pour que le cyclisme redevienne à la raison (même et surtout avec les sujets évoqués ci dessus) et comme dirait Yvon, il faut réveiller les assoupis!

  13. @Mica,

    Ce que tu peux aussi remarquer en 1962, même si c’est une évidence, c’est l’absence de rond point…

    Il n’y avait donc que peu d’éléments pouvant freiner le peloton dans les dernières heures d’une étpae de plat. Ainsi, le travail des sprinter était plus facile. Il y avait pas utilité à se maintenir dans les tous premiers du peloton comme aujourd’hui. Le rythme était beaucoup plus régulier.

    Pour ce qui est des analyses de Jean Bobet, il faut bien te dire que de l’époque ou il courait, il n’y avait pas de compteur ni de GPS et les 60 km/h annoncés sont forcement très approximatifs et destinés à épater la galerie. Par contre, j’adore son vocabulaire cycliste.

    Le niveau de performance de l’époque était très proche de celui d’aujourd’hui mais il suffit de regarder l’évolution du record de l’heure sur bicyclette traditionnelle ou les temps de montés sur les cols pour se rendre compte que cela roule un peu plus vite de nos jours.

    Après, il reste difficile de discriminer la part des différents types de dopage dans la participation à la performance.

    L’on ne saura jamais si les champions d’hier était plus ou moins fort et il en sera de même pour les champions de demain.

    La seule chose que l’on peut constater c’est l’hyper spécialistion du cyclisme moderne.

  14. mica

    Eric: on pourrait évoquer l’ état des routes qui s’ est quand même singuliérement amélioré depuis 60 ans!
    Des centaines de Km d’ enrobés super lisses sont refaits par les conseils généraux chaque année à l’ occasion des passages du tour.
    Pour ce qui est du record de l’ heure, les progrés doivent beaucoup à l’ utilisation des roues lenticulaires, on peut estimer ce gain à 4 ou 5 secondes au Km, j’ avais tenté d’ expliquer le coté « énergivore » des roues à rayons lors de divers posts, dans des sujets précédents; Idem pour les CLM mais encore, pour le coup, ils tirent trop gros actuellement.
    Pour ce qui est de la montagne, je me souviens de certaines chevauchées qui n’ avaient rien à envier à celles de nos jours (ex. Bahamontés dans Luchon Pau 1964…ou, ce mois ci dans vélo Mag. à propos de V. Huot (un quasi régional décédé récemment: « il caracola en tête de l’ Aubisque dans l’ étape Bayonne Pau(il avait escaladé les 17 Km en 44 minutes, un exploit sensationnel »…fin de citation.
    Iu sembles insinuer que les temps ou les distances indiquées étaient faux… ah bon.. Paris Tours ou Paris Roubaix ne faisaient pas 250 Km quand elles étaient courues à plus de 45 de moyenne, mais 220 Km, ou les chronométres étaient faux…
    Là j’ avoue que je ne comprends plus, on exagérait à l’ époque… on se dopait (ce qui est vrai) mais ces derniéres années, tout a t’ il été clean…je n’ en suis pas sur!

  15. lbi

    Tu es à deux doigts du « c’était le bon temps! ».

  16. mica

    lbi: non, loin de moi cette idée délétére du « c’ était le bon temps », ce n’ est pas du tout mon esprit, mais je pense que,croyant s’ engager sur la voie du progrés, le cyclisme s’ est engagé dans une impasse technique.
    Pourquoi pas maintenant le 10 dents à l’ arriére ou le 60 à l’ avant…?
    Quand je vois une arrivée comme celle du dernier M San Remo, les vélos d’ un coté, les bonshommes de l’ autre, je me dis que quelque chose ne va plus dans le vélo moderne, qu’ il y a un probléme.
    Enfin, vous savez bien, qu’ en voiture, pour doubler un véhicule qui roule a la même vitesse que vous, il faut « rétrograder », c’ est à dire faire tourner le moteur plus vite, en cyclisme,en sprint en particulier, ils devraient procéder de la même maniére et, hélas, ils font le contraire.
    Faisant le contraire, ils mettent 1 2 ou 3 dents de moins, et ne pouvant plus « emmener le gros », ils se mettent debout sur les pédales, ce qui les pénalise encore plus car ils « offrent » un coef surface de pénétration dans l’ air (Scx) bien plus élevé.
    En quelque sorte: la double peine!
    Un peu idem pour les CLM , (bon, là ils ne vont quand même pas les faire en danseuse!)
    Si je dis tout çà en long et en large, quitte à me faire moquer, ou incendier, c’ est que j’ ai des convictions, mais je ne suis pas rétrograde, ce n’ était pas mieux hier, mais il faudrait que ce petit monde soit moins moutonnier, conformiste, et finalement bien plus rétro que moi.
    Je n’ ai pas d’ action, de posture, d’ intérets à défendre,….simplement une conviction technique.

  17. mica

    Au mlieu de mon commentaire, je voulais dire: « faisant le contraire, ils mettent une, deux ou 3 dents de moins » etc..etc..

  18. mica

    Au risque de lasser, incommoder, sortir certains de la zone de confort, je vais pousser la métaphore « automobilistique » un peu plus loin.
    Pour sprinter, c’ est comme si un automobiliste, voulant doubler un de ses pairs, passait la surmultipliée (une hypothétique 7 emme ou 8 emme vitesse) et déployait des sortes de voiles, véritables aérofreins au dessus de son véhicule….
    Voila, en grossissant le trait, ce que font nos cyclistes dits modernes!
    Voyez vous, j’ ai toujours décidé de ne pas employer le langage lénifiant de nos journalistes « officiels » et de leurs assesseurs, gardiens du temple, les consultants.

  19. lbi

    Je crois qu’on commence à comprendre ou tu veux en venir, même si quelques précisions ne seraient pas de trop… 🙂 🙂 🙂

  20. D’après siteducyclisme.net cette photo aurait été prise lors de la 6ème étape du Tour d’Autriche 1969 gagnée à priori par Joop Zoetemelk.
    Sur le site il est dit que l’étape a été « Interrompue à cause de la neige au Obertauern  »
    http://www.siteducyclisme.net/ritfiche.php?ritid=134778&wedstrijdvoorloopid=7035#ucira

  21. Wolber

    Ah merci , Nikko , pour la recherche. En manches courtes par un temps pareil…

  22. @Mica,

    Depuis 2007 en raison de la RGPP, ou révision générale des politiques publiques puis de la MAP (modernisation de l’action publique), le revêtement des routes, laissé à l’abandon, n’est guère meilleur que dans les années 60.

    Après guerre, d’importants efforts ont été fait pour bitumer les routes. Aujourd’hui, leur entretien laisse franchement à désirer. La réfection du goudron avant le passage du tour n’est plus systématique depuis 2007.

    Si pour la pratique automobile, la qualité des routes, n’est guère meilleur que dans les années 60. Pour la pratique du vélo de compétition, elle s’est franchement détérioré en raison des nombreux dos d’âne ralentisseur et des nombreux ronds points et îlots. central. Ces nouveaux aménagements modifie la manière de courir avec un peloton plus nerveux et l’obligation pour les sprinter d’être à l’avant de la course bien plus tôt qu’avant et au prix d’efforts plus important.

    Pour le record de l’heure, je parlais du record sur bicyclette classique, donc sans roue lenticulaire et sans prolongateur.

    Pour les petits mensonges sur les distances et les moyennes, c’est un classique du vélo de compétition. Simplement, avec les GPS et les compteurs modernes, il devient impossible de se mentir à soi même.

    Pour ce qui est de la montée de l’Aubisque, je ne sais pas mais pour ce qui est de la montée de l’Alpe, les chiffres sont édifiants.

    http://www.lavenir.net/cnt/dmf20130522_030

    Et encore, l’article ne parle pas du record de Bahamontes en 45 minutes que les meilleurs cyclistes amateurs sont capables d’égaler. Bien sur, il est difficile de faire la part du dopage dans tout cela…

  23. mica

    Eric: tu as souvent de bonnes réponses, trés bien documentées et pour cela, je te félicite.
    Néammoins il serait faut de dire que l’ état des routes qu’ emprunte le TDF s’ est détérioré par rapport aux années 60, je pense de plus que la plupart des dos d’ ânes sont rabo
    tés provisoirement à l’ occasion des passages des grandes courses, et la plupart des ronds points ne sont pas un problême ( sauf si route mouillée)
    Je n’ ai jamais entendu parler d’ un record de Bahamontés à 45 mn sur l’ alpe d’ huez, pour moi il me semblait qu’ il ne l’ avait jamais monté, si c’ est le cas ce n’ était tout de même pas mal il y a 60 ans et il serait normal que les amateurs d’élite fassent moins de 45 mn aujourd’ hui, mais je ne suis pas sur que beaucoup y parviennent actu. (voir quand même ce record de l’ espagnol qui me « turlupine ».
    En parlant de l’ état des routes, je suis sur en tout cas que le « tapis » qui conduit à l’ alpe (billard) est incomparable à celui qui régnait dans ces lieux en 1950 1960.
    Pour le record de l’ heure trad., il culminait autour de 50 là, une petite amélioration par rapport à E. Merckx (Sosenka, je crois, de mémoire, mais celui ci était un athléte surpuissant qui n’ a jamais fait que cela et incapable de faire autre chose).
    Mais mon propos n’ était pas d’ illustrer tout ceci, mais de comparer les sprints d’ alors et ceux d’ aujourd’ hui en particulier au niveau de la vélocité et de la capacité a réaliser des sprints assis. (comme celui que l’ on voit au TDF 62 Remporté par Altig je crois) Le petit film de L.Malle que tu as sorti des oubliettes est par ailleurs une pépite et je t’ en remercie!
    A propos voir Renaud Lavillenie qui « au pied levé » et en riant a réalisé 12, 01 au 200m lancés sur la piste de St Quentin en Yvelines, puis dans la foulée 11.6 a proximité d’ une motocyclette (même pas dans la roue et parfois loin), à faire pâlir certains de nos pros., il est vrai qu’ il était « avantagé », il n’ avait pas le 11 ou le 12, mais plus surement le 14, voire le 15 dents avec 50 ou 54 à l’ avant, il faut voir d’ ailleurs comment il moulinait…à méditer..
    IL n’ avait, bien sur, jamais touché a un vélo de piste!
    Merci en tout cas de dialoguer, mais il ne faudrait pas finir à seulement 2 sur ce blog.
    Allez, je pose un pouce levé pour ta passion et j’ attends une réponse circonstanciée, comme d’ habitude!

  24. Pour le record amateur :

    Gallego Mikael 0h 38′ 12 » 19.4 km/h

    Mais l’arrivée est jugé à l’office et je pense qu’il y a encore 5 à 6 minutes de course pour l’arrivée du tour. Mickael Gallégo est un grimpeur exceptionnel mais je ne connais pas son niveau par rapport au plus haut niveau amateur.

    Chris Boardman ou Ondřej Sosenka, ce n’est tout de même pas le même niveau qu’un Merckx.

    Je me demande quelle performance réaliserait un Tom Dumoulin, préparé spécifiquement et au top de sa forme ?

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